• Christ, notre espérance

    Mardi 29 Novembre 2022

    Christ, notre espérance

    Ce salut, les prophètes qui ont parlé de la grâce qui vous était destinée en ont fait l'objet de leurs recherches et de leur investigations. Ils se sont appliqués à découvrir quelle époque et quelles circonstances désignait l'Esprit du Christ qui était en eux, Esprit qui, d'avance, attestait les souffrances du Christ et la gloire qui s'ensuivrait. 1 Pierre 1:10,11

    Les prophètes de l’Ancien Testament ont annoncé la faveur imméritée que nous avons reçue en Jésus-Christ. Même s’ils n’ont pas totalement compris le contenu de l’espérance qu’ils annonçaient, elle a été l’objet de leur intérêt spirituel.

    Avant même qu’Abraham ait un seul enfant, Dieu fait alliance avec lui et lui dit : Je donne ce pays à ta postérité, depuis le fleuve d'Égypte jusqu'au grand fleuve, au fleuve d'Euphrate (Genèse 15:18). Quels pouvaient être les sentiments d’Abraham quand il reçoit une telle promesse qui n’est pas pour lui, mais pour sa descendance, et qui ne s’accomplira que quatre cents ans plus tard ? Abraham n’a pas reçu les choses promises, mais il s’est réjoui et a tressailli de joie parce qu’il savait que Dieu accomplirait sa promesse et qu’il voyait le jour où le Seigneur viendrait (Jean 8:56).

    Dieu dit à David : Quand tes jours seront accomplis et que tu sera couché avec tes pères, j'élèverai ta postérité après toi, celui qui sera sorti de tes entrailles, et j'affermirai son règne (2 Samuel 7:12). David est donc averti qu’il va mourir avant que la promesse de Dieu se réalise. Quelle est sa réaction ? Il exprime une grande reconnaissance envers l’Éternel dans une profonde humilité. Sa descendance c’est Christ.

    Jérémie annonce le retour des Juifs dans la terre promise. Il sait qu’il faudra soixante-dix ans pour que cette prophétie se réalise, c’est-à-dire bien après sa mort. Daniel aussi sait qu’il ne verra pas le Messie (Daniel 12:13), mais il reçoit une promesse : Tu te reposeras, et tu te tiendras dans ton lot, à la fin des jours. Non, ce n’était pas pour eux-mêmes que ces prophètes annonçaient ces choses.

    On comprend la joie de Siméon qui, lui, a eu la révélation qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ : Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s'en aller en paix, selon ta parole (Luc 2:29).

    Nous avons une plus grande joie que celle de ces prophètes, plus grande que celle de Siméon tenant Jésus dans ses bras. Aujourd’hui Christ est notre vie, notre joie, notre paix, notre espérance. Il vient nous chercher pour accomplir sa promesse de nous avoir auprès de lui éternellement.

    Source (Plaire au Seigneur)

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