Lundi 13 Décembre 2021

L'Éternel est un Dieu qui sait tout, et par lui son pesées toutes les actions. 1 Samuel 2. 3

Les voies de l'homme sont devant les yeux de l'Éternel, et il pèse tous ses chemins... L'Éternel pèse les esprits... L'Éternel pèse les coeurs. Proverbes 5. 21 ; 16. 2 ; 21. 2

Attention, vous êtes pesé !

Nous sommes au palais du roi de Babylone, en 539 avant Jésus-Christ. Dans la salle du festin, c'est la consternation. Une main viens d'écrire quatre mots sur le mur, sous les yeux effarés du roi Belshatsar et de ses convives. On appelle Daniel, un serviteur de Dieu remplit de sagesse divine, qui traduit les quatre mots. Le troisième, "teqal", signifie : "Tu as été pesé à la balance, et tu as été trouvé léger" (Daniel 5. 27).

"Trouvé léger", voilà le verdict divin sur ce roi sacrilège. Et, la nuit suivante, Belshatsar est tué...

Ce roi a été pesé, non pas sur une balance ordinaire, mais à la balance divine. Par elle, c'est la valeur moral de l'être humain et de ses actes que Dieu évalue. Dieu "pèse", évalue nos chemins et nos actions  (ce qui se voit), mais aussi nos coeurs et nos esprits (l'intimité de notre être). Il sait pourquoi nous suivons telle et telle direction, pourquoi nous agissons, et aussi ce que nous aimons et ce que nous pensons.

Aujourd'hui, pendant notre vie, nous sommes tous "pesés". Dieu apprécie tout homme par rapport à son Fils, Jésus, l'homme obéissant. Un homme peut penser pouvoir faire ce qui lui plaît, ou même se dévouer entièrement pour les autres. Mais il n'est pas venu à Jésus pour confesser ce qu'il est devant Dieu, un homme pécheur il n'a pas de relation avec lui. Sa raison de vivre n'est pas d'honorer Dieu ; il est "trop léger".

Mais un simple verre d'eau, donné par un chrétien pour l'amour de Jésus, a toute sa valeur devant le juge de toute la terre (Matthieu 10. 42).

Après la mort, nous ne seront pas pesés. Jésus a dit : "Celui qui crois en moi ne sera pas jugé, mais celui qui ne crois pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu" (Jean 3. 18).

Source (La Bonne Semence)