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Vérité et mensonge
C'est pourquoi, vous débarrassant du mensonge, dites chacun la vérité à votre prochain, car nous sommes membres les uns des autres. Éphésiens 4. 25
"Ce n'est pas facile de dire la vérité, mais c'est toujours libérateur." Voilà ce que déclarait l'avocat d'un criminel qui venait d'avouer, après des mois de déni. La conscience est toujours un hôte gênant lorsque nous avons quelque chose à nous reprocher. Elle nous tourmente malgré nous, en nous reprochant les actes ou les pensées qu'elle nous montre comme mauvais. Avouer les faits, si possible directement aux personnes concernés, est la première démarche ers la paix. Si les faits sont portés devant la justice des hommes, cela aussi peut nous soulager.
Mais ce qui libère entièrement la conscience, c'est de les avouer devant le juste juge : Dieu. Devant la justice humaine il faudra accepter la sentence. Devant Dieu, la Bible nous dit que "si nous reconnaissons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de tout mal" (1 Jean 1. 9).
Comment Dieu peut-il être juste tout en pardonnant les fautes que l'on confesse ? Une faute entraîne un jugement et une sentence appropriée. Pour pouvoir gracier les coupables, Dieu a fait tomber le châtiment de leurs fautes sur son Fils Jésus-Christ, à la croix. Lui a subi la sentence que méritaient nos péchés. Avouer à Dieu nos fautes, c'est reconnaître la vérité sur notre état. Nous pouvons alors croire au Seigneur Jésus. Cela nous libère de notre culpabilité. Mais cela va plus loin, car Dieu nous donne une nouvelle nature qui n'est plus soumise à la pression du mal. Elle est libérée de l'esclavage du péché. Elle est libre pour faire le bien et elle en a désormais la capacité.
Source (La Bonne Semence)
Tags : Dieu, vérité, avouer, faute, sentence
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