• La grâce de Dieu (1) - Criminels de guerre nazis sauvés

    La grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été révélée. Tite 2:11

     

    Après la fin de la deuxième guerre mondiale, en 1945, un pasteur américain, H. F. Gerecke, fut nommé aumônier des criminels de guerre nazis de haut rang pendant leur procès à Nuremberg. Son rapport ci-dessous montre que la grâce de Dieu surpasse tout ce que nous pouvons concevoir.

    «Avant de rendre visite à ces chefs nazis dans leurs cellules, je me suis demandé si je devais saluer ces hommes qui ont apporté des souffrances indicibles dans le monde et qui ont été la cause du sacrifice de tant de millions de vies. (Mes deux fils avaient été eux-mêmes victimes de leurs méfaits). Comment me comporter devant de tels hommes pour qu’ils acceptent de recevoir la Parole de Dieu ?

    Le 20 novembre 1945, juste avant que le procès ne commence, j’ai passé la nuit en prière, demandant à Dieu de me donner un message pour eux. À ce moment, Dieu m’a donné la grâce, suivant l’exemple de Jésus, de haïr le péché, mais d’aimer le pécheur. Ces hommes devaient entendre parler du Sauveur qui a souffert et est mort sur la croix pour eux aussi. Une double cellule de la prison fut transformée en chapelle pour tenir nos services. Un ancien lieutenant-colonel des Services secrets nazis était notre organiste. Vers la fin du service, le simple Évangile de la croix avait changé son cœur et il avait mis sa confiance en Christ.

    Keitel, von Ribbentrop, Raeder, Donitz, von Neurath, Speer, Schacht, Frick, Funk, Fritsche, von Schirach, Sauckel et Gœring faisaient partie du groupe. Nous chantions des cantiques, nous lisions les Écritures, nous apportions un court message et nous terminions par la prière. Sauckel a été le premier à ouvrir son cœur à l’Évangile. Il était le père de dix enfants et avait une épouse chrétienne. Après quelques visites, nous nous sommes agenouillés au pied de son lit et il a prononcé la prière du publicain : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur.

    Puis Fritsche, Von Schirach, et Speer ont demandé la permission de prendre la communion. Quand j’ai vu ces trois hommes recevoir le pain et le vin, j’ai été saisi d’émotion, parce que Dieu avait travaillé puissamment par sa Parole et son Esprit dans leurs cœurs. Comme pécheurs repentants, ils avaient accepté le pardon en Christ».

    H.f. Gerecke (traduit de l’anglais).

    Source (Plaire au Seigneur)

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