Lundi 18 Janvier

Philippiens 4.13 - Je peux tout par celui qui me fortifie.

FormiDables ou formiNables ?

Je vais vous avouer un secret : ce titre, je l’ai reçu dans mon sommeil mais il s’est inscrit dans mon esprit à l’encre indélébile. J’espère donc ne pas être incompréhensible dans mes « élucubrations », au contraire, j’espère que ce texte vous encouragera ou à tout le moins vous donnera à réfléchir.

Vous remarquerez que seulement une lettre fait la différence entre le positif et le négatif. Cette lettre est le D ou le N. Le D représente Dieu, le N : « Nous-mêmes ». En substance, le message contenu dans cette phrase est celui-ci : si je fais les choses à la manière de Dieu, je suis formiDable ; si je fais les choses pas moi-même, je suis formiNable ! C’est brut de pomme mais cela veut dire ce que cela veut dire.

Combien de fois avons-nous tendance à faire les choses par Nous-mêmes ? Nous sommes souvent très « réactifs » mais nous faisons les choses avec un tel manque de sagesse. Nous mélangeons avec une facilité déconcertante humain et divin, rabaissons les plans de Dieu à nos propres projets, donnons un petit coup de pouce au Seigneur parce que les choses ne vont pas assez vite à notre goût, prenons des décisions importantes sans consultation aucune du Père dans la prière… et, en fin de parcours, nous faisons les mécontents parce que notre façon de faire se solde par un échec ou une catastrophe !

Si j’ai bien appris une leçon importante pendant toutes ces années, c’est que le chemin le plus « productif » dans la vie chrétienne est celui de l’obéissance. A vrai dire c’est très reposant, satisfaisant, libérateur… de faire les choses à la manière de Dieu et selon Ses directives. Il est digne d’une confiance aveugle, Il a toujours raison, Il ne se trompe jamais et Il sait absolument sans l’ombre d’un doute ce qui est le « meilleur » pour nous. Il est tout à fait capable de faire de nous des personnes formiDables. Oh doucement : c’est Lui qui fait, pas la peine de se prendre le chou.

Bon j’ai aussi une bonne nouvelle ! Le dicton dit : « Il n’est jamais trop tard pour bien faire », moi je dis : « Il n’est jamais trop tard pour que Dieu répare nos c…, je veux dire nos erreurs ». Allez un petit remontant pour la route : « …Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein » (Romains 8.28). Çà, mes bien-aimés, c’est du béton !

Bonne réflexion.

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