-
Bonnes ondes de Bach
Vendredi 12 Août 2022
Bonnes ondes de Bach
Tu es mon Seigneur, tu es mon bien suprême. Psaume 16.2
Dans ma voiture, je me branche sur France Musique. Soirée Jean-Sébastien Bach. Le présentateur en parle comme d’un dieu. Mais le morceau qui passe s’intitule : « Seul Dieu doit avoir mon cœur ! »
Bach a tout compris ! Pour lui, Dieu n’est pas simplement un accessoire utile, un dieu du dimanche. Non, c’est Dieu, le souverain, à qui l’homme donne tout son cœur quand il a compris que Jésus est mort à sa place. Plein de reconnaissance, il s’écrie : « Seul Dieu doit avoir mon cœur. »
Cet abandon total n’est pas quelque chose de totalitaire, mais c’est l’amour total de celui qui a été libéré par le sang versé de Jésus-Christ. Et qui, de bon cœur, lui consacre tout. Ce n’est qu’un culte raisonnable (Romains 12.1), logique comme la musique de Bach !
Cet amour total me subjugue ce soir dans ma voiture. Je suis très content que, par Bach, ce message passe sur les ondes d’une radio nationale. Aimez-vous Dieu, comme Jean-Sébastien Bach ? Je vous le souhaite de tout mon cœur.
Francis Schneider
__________________
Lecture proposée : Psaume 16.
16.1 Hymne de David. Garde-moi, ô Dieu, car je cherche refuge en toi !
16.2 Je dis à l'Éternel : «Tu es mon Seigneur, tu es mon bien suprême.»
16.3 Les saints qui sont dans le pays, les hommes pieux, sont l'objet de toute mon affection.
16.4 On multiplie les idoles, on court après les dieux étrangers, mais moi, je ne verse pas d'offrandes de sang en leur honneur, je ne mets pas leur nom sur mes lèvres.
16.5 Éternel, c'est toi qui es ma part et la coupe où je bois, c'est toi qui m'assure mon lot.
16.6 Un héritage délicieux m'est attribué, une belle possession m'est accordée.
16.7 Je bénis l'Éternel, car il me conseille ; même la nuit mon coeur m'instruit.
16.8 J'ai constamment l'Éternel devant moi ; quand il est à ma droite, je ne suis pas ébranlé.
16.9 C'est pourquoi mon coeur est dans la joie, et mon esprit dans l'allégresse. Même mon corps reposera en sécurité,
16.10 car tu *n'abandonneras pas mon âme au séjour des morts, tu ne permettras pas que ton bien-aimé connaisse la décomposition.
16.11 Tu me fais connaître le sentier de la vie ; il y a d'abondantes joies dans ta présence, un bonheur éternel à ta droite.
Source (Vivre Aujourd'hui)
Tags : Dieu, Bach, coeur, Éternel
-
Commentaires