• Jeudi 18 Avril 2024

    Encore une autre pomme d'or !

    “Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée.” Matthieu 5. 14

    Le jour où Stuart Briscoe se porta volontaire pour les marines il annonça la nouvelle à un ami, le capitaine Horace Sidney May. Cet homme reçut la nouvelle avec joie et il déclara : “Merveilleux ! Tu vas clouer tes couleurs au mât !” Cette expression anglaise est basée sur le fait que dans le passé les marins en partant du port hissaient sur le mât le drapeau de la reine ou du roi qu’ils servaient. S’ils rencontraient des pirates ou un ennemi ils pouvaient descendre ce drapeau et hisser un drapeau blanc pour abandonner leur allégeance. Certains capitaines obligeaient un marin à clouer le drapeau de couleur de leur allégeance au mât pour que personne ne puisse le descendre pour se rendre. Ce qu’Horace voulait impliquer c’est que si Stuart était sérieux au sujet de sa foi il devait hisser les couleurs de son allégeance à Christ en vivant sa foi devant ses pairs dans la marine. Le premier soir chez les marines, conscient que ce que son ami lui avait dit était primordial mais dans la crainte de la réaction de ses pairs, il attendit un moment où les autres marines s’étaient éloignés et il se mit à genoux pour prier. Un silence à couper au couteau régnait dans le baraquement, Stuart paralysé par la peur n’arrivait même pas à prier. Puis il commença à entendre les pas d’une trentaine de marines qui entrèrent et vinrent l’entourer. Il compta jusqu’à 25 et puis il se leva. “Qu’est ce qu’il fait ?” dit un, et un autre répondit : “Je pense qu’il priait !”, “Qui ?” “Dieu ?” “Qui est Dieu ?”. Ils commencèrent à le bombarder de questions ! Cette nuit-là Stuart put non seulement afficher ses couleurs en disant qu’il était chrétien mais il put répondre aux questions de ces hommes et de plus leur expliquer comment devenir chrétien. Stuart reconnaît que si ça s’est passé comme ça, cela n’était nullement grâce à ses talents, car cette nuit là il avait très peur mais si nous affichons notre allégeance à Dieu, Dieu se sert de notre disponibilité. “Ne vous inquiétez pas d’avance de ce que vous aurez à dire, mais dites ce qui vous sera donné à l’heure même ; car ce n’est pas vous qui parlerez, mais l’Esprit Saint” (Marc 13. 11).

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Mercredi 17 Avril 2024

    "Quésaco" ?

    “Comme des pommes d’or sur des ciselures d’argent, ainsi est une parole dite à propos.” Proverbes 25. 11

    Stuart Briscoe se demandait à quoi ‘des pommes d’or sur des ciselures d’argent’ pourraient ressembler ? Il parvint à la conclusion qu’il n’en avait aucune idée ! Par contre ce qu’il comprit en méditant sur cela c’est qu’elles doivent avoir une très grande valeur ! Nos paroles, si elles sont dites à propos peuvent être incroyablement importantes, elles peuvent présenter une valeur inestimable pour la personne qui les reçoit et elles peuvent changer le cours de leur vie ! Stuart a donné trois exemples de paroles ‘dites à propos’ qui ont eu un profond effet sur les principes fondamentaux qui ont dirigé sa vie. Stuart se rappelle du jour où jeune garçon il réalisa qu’il ne partageait pas le même engagement de foi que ses parents. Sa maman lui expliqua qu’il fallait qu’il prie et qu’il demande à Jésus d’entrer dans son cœur. Alors il a prié mais ne ressentant rien, il demanda à sa maman: ‘Comment peut on savoir s’Il est entré ?’ Sa maman lui expliqua que : “Les paroles de Jésus sont des paroles d’un gentilhomme !” Quand un gentilhomme dit qu’il va faire quelque chose il le fait ! Stuart comprit : il pouvait faire totalement confiance aux paroles de Jésus. Le père de Stuart vendait des bonbons. Un jour Stuart succomba à la tentation de voler un bonbon. Son père le vit ! Á la fin de leur discussion, Stuart retint dans sa mémoire les paroles de son père : “Nous ne touchons jamais quelque chose qui nous appartient pas !” Á 17 ans, un inconnu s’approcha de Stuart à l’église et dit : “Il est temps que tu commences à prêcher !” Stuart répondit qu’il ne savait pas prêcher, à quoi l’homme rétorqua : “Comment peux-tu savoir que tu ne sais pas le faire si tu n’as jamais essayé !” Ce sont ces trois paroles dites à propos qui sont devenues pour Stuart Briscoe les principes fondamentaux qui l’ont guidé tout au long de sa vie. Que le Seigneur nous aide à dire des paroles à propos, qu’Il nous inspire (Marc 13. 11 et Luc 12. 11-12) par son Saint-Esprit ! Et qu’Il nous aide à reconnaître les paroles que nous devons retenir en tant que principes fondamentaux !

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Vendredi 12 Avril 2024

    Échangez vos filets !

    “Suivez-moi et Je ferai de vous des pêcheurs d’hommes.” Matthieu 4. 19 Version Segond 21

    Si vous choisissez de suivre Jésus vous recevrez toujours davantage que ce que vous aurez abandonné. Lorsque Jésus demanda à ces pêcheurs de Lui prêter leur bateau, ils n’hésitèrent pas à le mettre à Sa disposition. Après tout, ils avaient passé la nuit à jeter leurs filets sans rien prendre. Ils n’avaient même pas besoin de les réparer, seulement de les nettoyer. Si Jésus tenait à emprunter leur bateau, c’était pour que Ses paroles, qui étaient source de vie, puissent atteindre sans problème la foule amassée sur la berge du lac. Les pêcheurs, assis au fond de leur barque, écoutaient aussi les paroles de Jésus, tout en laissant leurs doigts glisser sur les mailles des filets. Puis la foule commença à se disperser et soudain la Maître s’adressa à eux pour leur dire : “Prenez le large et jetez vos filets.” Ils ne s’attendaient certes pas à ce qui allait arriver ensuite : leurs filets s’emplirent soudain de tant de poissons qu’ils commencèrent à rompre. Ils appelèrent d’autres patrons pêcheurs à la rescousse et grâce à leur aide parvinrent à ramener leur prise jusqu’au rivage. Mais leurs filets avaient beaucoup souffert : ils n’étaient même plus réparables. Comment allaient-ils reprendre la mer le lendemain, avec leurs filets déchirés ? Et que pouvaient-ils faire d’autre ? Ils ne connaissaient que cette activité. Désemparés, ils gardaient les yeux fixés sur leurs filets, quand soudain le Maître leur murmura : “Suivez-Moi !” Aujourd’hui, Il vous dit la même chose. Ces hommes abandonnèrent les lambeaux pitoyables de leur vie passée et s’engagèrent dans une nouvelle vie aux côtés de Jésus. Et Dieu se servit d’eux pour changer le monde dans lequel ils vivaient. Qu’ont-ils échangé contre le destin excitant qu’ils allaient connaître ? Juste les mornes souvenirs d’un mode de vie qui ne les menait nulle part. Et vous, qu’est-ce qui vous retient encore, qu’est-ce qui vous empêche de suivre Jésus ? Réfléchissez-y avec sincérité et honnêteté. Si vous décidez d’abandonner votre mode de vie pour devenir un disciple de Jésus, sachez que vous ne le regretterez jamais.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Jeudi 11 Avril 2024

    N'écoutez pas les amis de Job !

    “Job répondit : j’ai entendu beaucoup de choses semblables ; vous êtes tous de pénibles consolateurs.” Job 16. 1-2 Version Nouvelle Bible Segond

    Ne vous êtes-vous jamais trouvé dans une situation difficile et, en guise de consolation entendu des paroles comme : “en tant que chrétien vous ne devriez pas vous sentir si déprimé. Il vous faut faire davantage confiance à Dieu. Pour cela vous devez faire preuve de davantage de foi et de prière...” avec comme résultat que vous vous sentiez soit plus déprimé qu’avant, soit coupable de ne pas vous appuyer sur Dieu. Les amis de Job étaient “de pénibles consolateurs”, car ils ne cessaient de répéter les mêmes choses, sans apporter la moindre consolation valable à Job. Ils parlaient beaucoup, mais écoutaient peu les arguments de Job. Si vous vous sentez accablé par des émotions contradictoires, que devez-vous faire ?

    1- Vous souvenir que les émotions ne sont ni justes ni fausses. Elles n’affectent pas votre foi. Douter, se faire du souci, être effrayé sont des émotions humaines et ne vous éloignent pas de Dieu. Pensez à Jésus à Gethsémané : “Il commença alors à éprouver l’effroi et l’angoisse. Il leur dit : Je suis triste à mourir…” (Marc 14. 33-34). Par deux fois Il demanda à Son Père s’il était possible d’éviter les heures de souffrance qui L’attendaient à la Croix. Il ne chercha pas à cacher à Dieu Ses émotions, et le Père ne Lui fit pas de remontrances pour les avoir exprimées ouvertement. Faites de même, déversez vos sentiments et vos émotions les plus profondes devant Dieu.

    2- Reconnaître que vos émotions n’ont pas le pouvoir de vous dicter vos choix. Vous pouvez vous sentir ébranlé, effrayé, désespéré et pourtant faire de bons choix. Pensez à nouveau à Jésus qui malgré le poids de Ses émotions décida de suivre la voie que Son Père voulait qu’Il emprunte : “Toutefois, non pas ce que, Moi, Je veux, mais ce que, Toi, Tu veux” (Marc 14. 36). Malgré les émotions qui peuvent vous submerger parfois, choisissez de faire Sa volonté et dans Sa grâce Il vous aidera à surmonter les moments difficiles.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Mercredi 10 Avril 2024

    Dieu n'a pas de favoris

    “Il avait pour l’accompagner Sopater, fils de Pyrrhos, de Bérée, Aristarque et Secundus de Thessalonique...” Actes 20 . 4 Version Nouvelle Bible Segond

    Paul avait collecté une somme importante dans les églises de Grèce et de Macédoine (Romains 15. 25-29), destinée à aider les pauvres de l’Église de Jérusalem où la persécution était rude et aussi parce qu’une famine avait été prédite par le prophète Agabus. Il se rendait donc vers Jérusalem accompagné par plusieurs assistants, dont Sopater, Aristarque et Secundus. Le premier venait de Bérée, et faisait partie de cette assemblée qui aimait vérifier dans les Écritures chacune des affirmations de Paul (Actes 17. 10-15). Le nom des deux autres est intéressant car il montre que ces deux hommes venaient de milieux très différents, bien que tous deux natifs de Thessalonique. Aristarque portait un nom qui faisait référence à l’aristocratie de la ville. C’était probablement un homme issu de la classe dirigeante et peut-être fortuné et influent. Par contre Secundus, qui signifie tout simplement Second, n’est pas véritablement un nom propre, mais indiquait plutôt le rang de cet homme parmi les esclaves d’une maison. L’habitude était de nommer les esclaves en leur donnant un numéro : le premier, le second, le troisième en fonction de leur importance dans la propriété. Secundus était donc probablement un esclave affranchi, mais d’un rang bien différent de celui d’Aristarque. Néanmoins les deux hommes épaulaient conjointement l’apôtre dans sa mission et l’accompagnaient dans ce voyage vers Jérusalem. Une leçon importante pour nous aujourd’hui : Dieu n’a pas de favori et peut se servir autant d’un Aristarque que d’un Secundus. Non seulement individuellement mais aussi pour une mission commune. Á nous de nous en souvenir le moment venu !

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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