• Dimanche 18 Juillet 2021

    Le doute n'est pas un péché ! (1)

    “Thomas n’était pas avec eux lorsque Jésus vint.” Jean 20. 24

    Comment surmonter vos doutes ? De la même manière que Thomas, en les acceptant en toute honnêteté et en les amenant aux pieds de Jésus. Trop de chrétiens croient avoir compris le message profond du Christianisme et l’ont enfermé dans une grande boîte sur laquelle sont inscrits ces mots : “Ne posez pas de questions, ne soulevez pas de problèmes !” Et quand vous avez envie de pleurer le départ d’un être cher, allez-vous demander la permission à quelqu’un ? Ne vous sentez-vous pas libre d’admettre : “Je ne suis vraiment pas sûr de cela !” Est-il normal de douter ? Tout à fait ! Et même, il est nécessaire de douter ! Si vous ne doutez jamais, c’est probablement parce que vous avez cessé de grandir et de vous développer ! C’est que vous avez trop assimilé les réponses de quelqu’un d’autre et, dans la plupart des cas, ces réponses sont à côté de vos questions, à moins que vous ayez perdu l’habitude de poser des questions ! Êtes-vous assez honnête pour admettre vos doutes, ou êtes-vous encore effrayé de l’influence de quelque chrétien bien intentionné, convaincu quant à lui que toute question est une insulte à Christ ? Vous devez écouter à nouveau les douces paroles de Celui qui connaît le moindre de vos doutes et de vos peurs mieux que vous-même ! Il vous dit : “Que la paix soit avec vous ! Regardez Mes mains et Mes pieds. Regardez avec les yeux de la foi et croyez ! Ma bénédiction vous accompagnera lorsque vous croirez malgré vos doutes.” Pourquoi ne pas prier : “Seigneur, je ressemble à Thomas lorsqu’il a douté, moi aussi je lutte contre des doutes. Je n’ai pas encore mis ma vie en ordre et je sais que j’en serai incapable tant que je ne me serai pas rapproché de Toi. Merci de m’accepter malgré mes luttes et de ne pas ignorer mes questions. Thomas a atteint finalement ce point de sa vie où il a pu s’exclamer : Mon Seigneur et mon Dieu ! Merci de toute Ta patience à mon égard, merci de m’aider à atteindre le même seuil dans ma vie.”

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Samedi 17 Juillet 2021

    Prenez exemples sur les cinq filles de Tselophchad ! (4)

    “Elles pourront se marier à qui elles voudront, pourvu que se soit dans un clan de la tribu de leur père.” Nombres 36.6

    L’histoire des filles de Tselophchad connut un autre rebondissement occasionné cette fois par leurs oncles et les responsables des différents clans des fils de Joseph. Ils se présentèrent devant Moïse et les autres chefs de clans pour faire remarquer que la décision divine précédente comportait une faille à leurs yeux : si les filles de Tselophad se mariaient avec des hommes issus d’autres tribus, leur héritage risquait de passer sous le contrôle d’une autre tribu, déséquilibrant ainsi les surfaces de terrain allouées à chaque tribu lors du partage organisé plus tôt. On peut à nouveau se demander pourquoi Dieu n’avait pas prévu cette objection... ou l’avait-Il prévu, mais choisi d’attendre que les Israélites viennent le revoir pour Lui poser la question ? Quand il s’agit de discuter de la volonté de Dieu, n’oublions pas qu’Il nous teste parfois pour nous pousser à réfléchir par nous-mêmes et à chercher des solutions adéquates. Puisque l’être humain a été fait à l’image de Dieu, nous disposons nous aussi d’une pouvoir de réflexion et d’analyse. Même s’Il choisit de nous faire marcher sur un chemin que nous n’avions pas prévu, notre devoir n’est-il pas d’étudier les plans possibles pour nos actions ? Dieu accepta l’objection des chefs de clans des fils de Joseph, et ajouta une condition à Sa décision précédente : les filles de Tselophchad ne devaient pas se marier avec des hommes d’une autre tribu. Décision qu’elles acceptèrent de bonne grâce (v. 10-12). Une décision qui est toujours d’actualité ! “La femme... est libre d’épouser qui elle veut, mais un chrétien seulement” (1 Corinthiens 7. 39), écrit Paul, qui explique : “Ne vous mettez pas sous le même joug que des personnes qui ne croient pas en Dieu. Comment, en effet, ce qui est juste s’associerait-il à ce qui est mauvais ? Comment la lumière s’unirait-elle à l’obscurité ?” (2 Corinthiens 6. 14).

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Vendredi 16 Juillet 2021

    Prenez exemples sur les cinq filles de Tselophchad (3)

    “Vous ne possédez pas parce que vous ne demandez pas. Quand vous demandez vous ne recevez pas parce vous demandez mal dans le but de satisfaire vos passions.” Jacques 4. 2-3

    La Parole de Dieu est remplie de promesses. Certaines s’adressent à nous individuellement, d’autres en tant que faisant partie de la famille de Dieu. Les cinq filles de Tselophchad se souvenaient sans doute des bénédictions qu’Israël avait annoncées concernant Ses enfants, et en particulier les deux fils de Joseph. Après avoir étudié leur histoire, elles n’hésitèrent pas à réclamer ce qu’elles considéraient comme leur appartenant. Avant de réclamer les promesses divines sur votre vie, cherchez celles qui vous concernent. Par exemple Dieu a dit : “Mon Esprit, qui repose sur toi, et Mes paroles, que J’ai mises dans ta bouche, ne se retireront pas de ta bouche, ni de la bouche de tes enfants, ni de la bouche des enfants de tes enfants, dit l’Éternel, dès maintenant et à toujours” (Ésaïe 59. 21). Le saviez-vous, le croyez-vous ? Avez-vous demandé à Dieu de mettre en pratique Sa promesse dans la vie de vos enfants et de vos petits enfants ? Connaître la promesse ne suffit pas, encore faut-il la réclamer ! C’est ce qu’ont fait les cinq jeunes femmes. Et elles ont obtenu ce qu’elles demandaient. Quand Jacques écrit : “Vous demandez et ne recevez pas parce que vous demandez mal”, il met l’accent sur le motif derrière chacune de nos requêtes. Leur requête dépassait leur propre intérêt. Les bénédictions qu’elles réclamaient allaient rejaillir sur les générations futures. D’autres femmes en Israël profiteraient de leur action. Leur requête s’accordait ainsi avec le principe divin, énoncé par Dieu à Abraham : “En toi seront bénies toutes les familles de la terre” (Genèse 12. 3). Posons-nous la question : “nos prières et nos combats sont-ils des sources de bénédictions pour les autres ?" Mark Batterson a écrit : “Quand Dieu vous bénit financièrement, ne pensez même pas à augmenter votre train de vie. Pensez plutôt à augmenter le niveau de votre générosité !”

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Jeudi 15 Juillet 2021

    Prenez exemples sur les cinq filles de Tselophchad ! (2)

    “Pourquoi le nom de notre père disparaîtrait-il de son clan du simple fait qu'il n'a pas eu de fils ?” Nombres 27.4

    Israël était essentiellement un peuple de bergers nomades, depuis l’époque d’Abraham. En conquérant Canaan il allait devenir un peuple sédentaire, pour qui la possession de terres agricoles deviendrait essentielle. Pourtant les cinq filles mirent en avant la perte de leur nom en tant que clan, car elles savaient combien le nom était important au sein de leur société. Un détail signifiant, elles descendaient en droite ligne de Joseph, par Manassé, son fils aîné. Elles osèrent ainsi réclamer les bénédictions accordées par Israël, sur son lit de mort, à Joseph (Genèse 49.22-26). Et pourtant, même si ces bénédictions paraissaient adressées aux hommes de la tribu, elles osèrent affirmer leur égalité avec eux. Peut-être demanderez-vous pourquoi Dieu n’avait pas inclus les femmes dans Ses instructions à Moïse ? Aurait-Il pu oublier une telle possibilité ? Sachant combien Dieu est précis dans Ses plans, comment imaginer qu’Il ait attendu la requête des filles de Tselophad ? Ne serait-ce pas parce qu’Il voulait les entendre présenter leur requête ? Elles avaient une voix comme les hommes, elles devaient s’en servir pour réclamer ce qui était juste. Tout comme il nous appartient d’ouvrir notre bouche pour faire monter nos prières devant Dieu. Leur foi les a poussées à s’exprimer publiquement, avec courage et détermination. Alors même que les femmes n’étaient même pas comptées dans les recensements, elles osèrent s’approcher avec audace de la tente de la rencontre, le lieu où Dieu transmettait Ses directives à Moïse. Au-delà du nom de leur père, qu’elles voulaient honorer, c’était leur identité qu’elles voulaient défendre. Notre identité à nous est en Christ, identité qu’il nous appartient de défendre et d’honorer devant les hommes.

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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  • Mercredi 14 Juillet 2021

    Prenez exemples sur les cinq filles de Tselophchad ! (1)

    “Elles (les filles de Tselophchad) se présentèrent devant Moïse et devant le prêtre Eléazar ainsi que devant les princes et toute l'assemblée à l’entrée de la tente de la rencontre.” Nombres 27. 2

    Les cinq filles de Tselophchad se présentèrent devant Moïse, le grand-prêtre, les hauts responsables du peuple et devant tout le peuple assemblé devant la tente où Moïse rencontrait Dieu. Elles choisirent avec soin le moment propice pour présenter leur requête. Le peuple hébreu se trouvait alors dans les plaines de Moab, à l’est du Jourdain, et avant d’entrer dans le pays de la promesse, devait être recensé (Nombres 26), puisque, à l’exception de Josué et de Caleb, tous les hommes comptés lors de la sortie d’Égypte étaient morts dans le désert. Là aussi Moïse avait destiné aux tribus d’Israël une portion du pays qu’ils allaient conquérir (Josué 13-20). Seuls les hommes allaient recevoir des terres, ce qui ne posa problème qu’aux cinq filles de Tselophchad, car ce dernier n’avait eu aucun enfant mâle. Les oncles des cinq filles devaient donc recevoir la part attribuée à ce dernier, ce qui n’était pas du goût des cinq sœurs ! Le nom de leur père devait-il donc disparaître des archives généalogiques parce qu’il n’avait pas eu de descendance mâle ? Moïse ne prit pas la responsabilité de trancher dans cette affaire, mais demanda à Dieu de révéler Sa décision qui fut de permettre aux filles d’hériter de leur père (Nombres 27. 6-11). Remarquez :

    1- les cinq filles eurent le courage de se présenter devant tout le monde, alors même que personne n’était prêt à les soutenir, surtout pas leurs oncles, qui risquaient d’être les grands perdants si leurs nièces obtenaient gain de cause !

    2- elles n’attendirent pas de se retrouver en Canaan pour présenter leur requête. Le peuple était encore à l’ouest du Jourdain, donc la conquête n’avait pas encore débuté. Une leçon pour nous aujourd’hui : n’attendez pas qu’il soit trop tard pour présenter vos requêtes à Dieu. David le faisait chaque matin (Psaume 5. 3-4).

    3- les conséquences de leur requête dépassèrent leur propre situation. Dieu décréta que Sa décision deviendrait une loi perpétuelle pour Israël (v. 11). N’hésitez pas à vous battre contre l’injustice et l’oppression, car Dieu est Celui qui “défend le droit de tous les opprimés” (Psaume 105. 6).

    Source (Sa Parole pour Aujourd'hui)

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