• En effet, le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. Romains 6. 23

    Jésus lui répondit : Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis. Luc 23. 43

     

    Beaucoup évitent de réfléchir à l'au-delà, et on entend souvent dire : "Personne n'est revenu de la mort pour dire ce qu'il y a après". Plaquer cette ignorance gratuite sur une question aussi solennelle qu'universelle pour l'éluder ne la résoud pas et ne donne aucune paix. Pas plus que les explications de ceux qui estiment être revenus à la vie après un instant d'amnésie.

    La Bible nous dit que Jésus a ramené à la vie plusieurs personnes mortes, en particulier Lazare, qui était dans le tombeau depuis quatre jours (Jean 11. 43, 44). Jésus, le Fils de Dieu, l'a ressuscité par sa puissance devant une foule de témoins. Merveilleux témoignage de ce qu'est une vraie résurrection. Mais sur le chemin, avant de ressusciter Lazare, Jésus a dit à Marthe, sa soeur : "C'est moi qui suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, vivra, même s'il meurt ; et toute personne qui vit en croit en moi ne mourra jamais" (v. 25, 26). Pourquoi Jésus affirme-t-il qu'il est la résurrection et la vie ? Parce que lui-même allait mourir sur la croix, et ressusciter par cette même puissance. La Parole de Dieu en donne de multiples témoignages. Alors, celui qui croit en Jésus et à ce que dit la Bible, même s'il doit passer par la mort du corps, ressuscitera et vivra pour l'éternité.

    Jésus affirme encore : "S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader, même si quelqu'un ressuscite" (Luc 16. 31). Et il précise qu'après la mort on est, soit dans les tourments, soit dans le repos avec lui. Cela dépend du choix que chacun aura fait sur la terre : croire en Jésus ou pas.

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “Josué, fils de Jotsadak, accompagné de ses frères les prêtres, et Zorobabel, fils Shealthiel, accompagné de ses frères, se levèrent et reconstruisirent l'autel du Dieu d'Israël pour y offrir des holocaustes conformément à ce qui est écrit dans la loi de Moïse, l'homme de Dieu. Ils rétablirent l'autel sur ses fondations, malgré la peur que leur inspiraient les populations installées dans la région, et ils y offrirent des holocaustes à l'Éternel, les holocaustes du matin et du soir. Ils célébrèrent la fête des tentes conformément à ce qui est écrit et ils offrirent jour après jour des holocaustes suivant le nombre fixé pour chaque jour.” Esdras 3. 2-4

     

    Une fois debout “comme un seul homme”, le peuple bâtit. Étonnamment, quand “les fondements du temple n'étaient pas encore posés” (v. 7), il construit l’autel alors qu’il est missionné par le roi de Perse pour construire une maison pour l’Éternel, le Dieu des cieux (Esdras. 1. 2). Pourquoi commencer par là ?

    L’autel en question c’était le support des sacrifices faits par feu. C’était sur lui que les différents types d’offrandes (Lévitiques. 1 à 7) qui réglaient les relations des Israélites avec l’Éternel étaient offertes. Le Temple était le lieu où l’Éternel manifestait sa présence. À quoi bon un Temple s’il n’y a pas de relations avec le Dieu qui y fait sa demeure ? Sans Temple, les Patriarches construisaient leur autel auprès de leur tente pour y rendre culte à leur Dieu. L’autel reconstruit traduisait donc pour ces Israélites le rétablissement de relations collectives et personnelles avec l’Éternel dans le pays où il les avait ramenés. On comprend donc pourquoi, dans le respect de la loi de Moïse, ils commencent par reconstruire cet autel sur l’emplacement choisi par l’Éternel au temps de David et Salomon.

    Construire d'abord un autel ce n’était pas oublier l’objectif assigné auquel ils adhéraient. C’était montrer qu’ils avaient compris que leur relation avec Dieu passait avant le travail qu’ils avaient à faire pour lui. Salomon a écrit : “Si une maison n'est pas construite par l'Éternel, ceux qui la construisent travaillent inutilement” (Psaumes. 127. 1). Ils se souvenaient aussi qu’Ésaïe avait dit : “Le peuple que je me suis formé proclamera mes louanges” (Esaïe. 43. 21). Alors mettre l’Éternel comme leur première préoccupation en lui rendant le culte prescrit était l’assurance de sa bénédiction, de sa protection (Esdras. 3. 3) et de sa conduite pour la construction en vue (Esdras. 3. 7).

    Comme pour eux, commencer par obéir à Dieu, avec sa grâce, dans ce que nous connaissons de sa volonté est le fondement solide de notre activité.

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “En effet, c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est pas par les oeuvres afin que personne ne puisse se vanter.” Éphésiens 2.8-9

     

    Nous avançons dans les plans de Dieu pour nos vies de la même façon que nous recevons le Salut. Nous sommes sauvés, non pas à cause de ce que nous avons fait, mais par grâce. C’est un don. Un don ne se gagne pas ! Vous le recevez tout simplement.

    "La mort de Jésus à la croix est le sacrifice parfait par lequel nous pouvons avoir accès à une vie libre de toute culpabilité..."

    Avez-vous déjà vu quelqu’un refuser un don parce qu’il pensait que c’était trop ? “Oh non, je ne peux pas l’accepter ! C’est trop ! Non…” Ceux qui luttent avec le fait de recevoir gracieusement un cadeau approprié doivent certainement se battre avec des pensées d’orgueil et de condamnation. Parfois, ils vont même jusqu’à penser qu’ils sont beaucoup mieux que la personne qui leur offre le cadeau, ou alors qu’ils ne méritent pas quelque chose d’aussi élégant.

    Le verset du jour (Éphésiens 2.8-9) nous révèle que Dieu désire que nous acceptions simplement le don du salut qu’il nous a offert gratuitement.

    La mort de Jésus à la croix est le sacrifice parfait par lequel nous pouvons avoir accès à une vie libre de toute culpabilité et de toute condamnation. Notre nouvelle vie en Christ nous donne l’accès à une grâce abondante qui nous rend capables et qui nous confère une onction divine.

    Lorsque vous êtes inquiet(e), frustré(e) ou en colère, arrêtez-vous un moment afin de réaliser que la vie que vous vivez à présent, est celle de la grâce abondante de Dieu. C’est un don que Dieu lui-même vous a donné, et personne ne peut vous l’enlever.

    Une action pour aujourd’hui

    La grâce est un don de Dieu. Recevez ce don ! Ne le refusez pas ! Aujourd’hui, placez-vous devant un miroir et dites à votre “moi” ce que vous êtes en Christ. Proclamez à haute voix : “Je suis la tête et non la queue. Je suis magnifiquement et merveilleusement créé(e). Je suis co-héritier(ère) avec Jésus-Christ. Je suis aussi rusé(e) qu’un serpent et aussi sage qu’une colombe. J’ai été régénéré(e) par Dieu afin de faire les oeuvres qu’il a préparées d’avance pour moi.”

    Keith Butler

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Mon amertume même s'est changée en bien-être. Tu m'as aimé au point de me retirer de la fosse de la destruction, car tu as jeté derrière toi tout mes péchés. Ésaïe 38. 17

     

    "Mes parents étaient chrétiens. Ils m'ont enseigner à suivre Jésus par la lecture de la Bible en famille, dès mon enfance. J'avais l'habitude d'aller avec eux à des réunions chrétiennes. Là j'avais de bons contacts avec d'autres jeunes croyants. De bonne heure j'ai compris  que j'étais pécheur et que j'avais besoin de Jésus Christ comme mon Sauveur. J'ai confessé à Dieu les fautes, et cru que Christ était mort pour moi aussi.

    Mais, avec le temps, ma vie est devenue plus superficielle. Je profitais de la vie, sans interroger mon Sauveur. Un jour, un de mes copains m'a demandé de l'accompagner à la banque  avant d'aller faire un tour en ville avec lui. Je l'ai attendu devant la banque, et au bout d'un long moment il est enfin ressorti. Je me suis approché de lui, et me voilà saisi par la police. Visiblement mon copain avait des démêlés avec la justice. Emmené au poste, je proteste, je ne suis pas complice. Mais je suis placé en cellule pour la nuit. Je n'ai pourtant rien fait de mal.

    Cette nuit-là a été le tournant de ma vie. Quel contraste avec mes années de jeunesse où mon Sauveur était aussi mon Berger ! Si j'était une brebis égarée, il était, lui, toujours le même, et il m'a délivré. Je ne vivais pas réellement dans le péché, mais je suivais Jésus sans être vraiment engagé. C'était une évidence dure à avaler. À partir de ce moment-là, j'ai compris ma vulnérabilité et la nécessité permanente de lui confier ma vie, mes projets et mes relations."

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “Le peuple se rassembla comme un seul homme à Jérusalem.” Esdras 3. 1

     

    Tout un peuple parfaitement d'accord ! Dans un pays démocratique où un dirigeant peut être élu avec 50,2 % des voix, cela paraît suspect. Il est vrai que des dictatures usent de moyens douteux pour obtenir de larges majorités. Mais là, c'est plus qu'une large majorité et il n'y a pas de vote douteux. Comment expliquer cette unanimité ?

    Le livre d'Esdras nous donne le nombre de ceux qui étaient retournés en Israël : 42 360 personnes qui “se rassemblèrent comme un seul homme”. Chacune d’elles a laissé ses préférences, sa volonté, ses occupations, ses plans et ses petits projets, pour servir un grand projet, d’un commun accord.

    Pour qu’un concert soit harmonieux, il faut que tous les instruments soient préalablement accordés ; ils seront ainsi à l’unisson sur une même note. Est-ce que cela se fait en deux secondes ? Est-ce que c'est fait une fois pour toutes ? Deux hommes ne peuvent pas marcher ensemble quand ils ne sont pas d’accord (Amos 3. 3), à plus forte raison tout un peuple ! Jésus le dit à ses disciples : il faut s’accorder pour que Dieu agisse (Matt. 18. 19). S'accorder est une condition pour servir en bonne harmonie et réaliser l’œuvre de Dieu. Mais comment est-ce possible à l’échelle d’un peuple ?

    En fait, ce qui est impossible humainement paraît finalement tout naturel quand Dieu réveille l'esprit de son peuple (Esd. 1. 5). Au début du livre des Actes, nous lisons que les premiers chrétiens “persévéraient dans l'enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain et dans les prières” (2. 42) ; et que “la foule de ceux qui avaient cru n'était qu'un coeur et qu'une âme. Personne ne disait que ses biens lui appartenaient en propre, mais ils mettaient tout en commun” (4. 32). Et Dieu était au milieu d'eux. Et cela s'est vécu de multiples fois dans l'histoire de l'Église ; chaque fois que l'Église a connu un réveil, elle a pu avancer sérieusement. Être accordés est donc une conséquence de l'œuvre de Dieu.

    Dieu, qui nous a unis ensemble en Christ, veut nous accorder profondément les uns aux autres, sur une base qui ne soit pas seulement amicale (on s'entend bien), sentimentale (il y a longtemps qu'on se connaît) ou pragmatique (on a besoin les uns des autres). Il faut plus que cela ! Cherchons donc cette base (Phil. 2. 1-8 ; Eph. 4. 1-5), et laissons Dieu agir.

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires