• Méditer le mal, c’est espérer qu’il arrivera du mal à quelqu’un, ou faire des projets pour qu’il lui arrive du mal. Les frères de Joseph ont médité du mal envers lui. Ils y ont pensé plus d’une fois, puis cette pensée s’est transformé en objet de méditation. Ils se sont arrêtés à penser, ils ont pris du temps pour cela, puis, poussés par leurs mauvais désirs et encouragés par l’auteur du mal, des projets sont nés dans leur coeur. Après avoir accompli leur funeste dessein, gloire à Dieu, Dieu a finalement transformé le mal en bien.

    « La tromperie est dans le coeur de ceux qui méditent le mal, mais la joie est pour ceux qui conseillent la paix » (Proverbes 12:20).

    Si nous méditons le mal contre quelqu’un, c’est que notre coeur ne va pas bien. L’amour ne soupçonne pas le mal, et il ne le médite pas non plus. Il fait en réalité tout le contraire. Il médite le bien, il attend le bien. Parfois il arrive des événements qui nous poussent à vouloir nous venger en utilisant le bras de la chair. Nous devons le refuser. Parfois des gens ont été durs avec nous, et nous gardons de la rancune. D’une certaine façon, nous espérons qu’il leur arrive quelque chose de mal, nous espérons qu’il leur arrive la même chose qu’il nous ont fait subir, ou pire encore. Lorsque nous trouvons ce genre de sentiments dans notre coeur, nous devons prendre garde et les faire disparaître, car cela montre que nous avons ouvert une porte pour le mal dans notre coeur. Les gens qui nous ont blessés sont aimés de Dieu et ils doivent être sauvés. Nous ne devons pas l’oublier, et nous devons prier pour eux comme Jésus nous l’a demandé.

    Méditer le mal, c’est aussi croire qu’il arrivera du mal dans une situation. Lorsqu’on a un coeur pour les perdus, nous ne devons jamais imaginer que « ce sera forcément un échec parce que leur coeur est trop dur ». On doit penser grand. On doit penser avec la foi de Dieu. On ne peut pas partir en défaitiste, mais on doit partir en vainqueur et pour vaincre (Apocalypse 6:2).

    Jérémy Sourdril

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  • Je suis l’Alpha et l’Oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Apocalypse 22.13

     

    Nous voici déjà à la fin de l’année. Plutôt que de rêvasser autour de quelques bonnes intentions, pourquoi ne pas nous inspirer de la dernière page de la Bible avant de commencer à écrire la première page de l’année nouvelle ? On pourrait résumer cela par ces quatre impératifs :

    Confiez votre vie à Christ. 

    Il est l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin : il aura donc le dernier mot. Il possède les droits au trône céleste, le seul qui compte vraiment ici-bas. Il est l’étoile sur qui il faut fixer le cours de notre vie. Le temps, le trône et le destin : tout est là pour une bonne année, et une bonne vie.

    Acceptez l’autorité de la Parole de Dieu. 

    À qui êtes-vous soumis ? Qui a l’autorité finale et réelle dans votre vie ? Qui est le juge de vos habitudes ? À quoi êtes-vous enchaîné ? La science ? Les amis ? Facebook ? L’argent ? Seule la Bible est vraie et digne de confiance, alors, gardez-la et semez-la, sans y ajouter, sans en retrancher.

    Vivez une vie sainte. 

    Votre vie sera-t-elle une spirale vers le bas, ou vers le haut ?

    Engagez-vous dans l’Église de Jésus.

    Cherchez à avoir une vie d’église. Acceptez de sacrifier de votre temps, de votre énergie et de votre argent pour y participer. Ne vous contentez pas d’y être un visiteur.

    Ferez-vous cette démarche ?

    Alors, « Bonne Année ! »

    Egbert Egberts

    __________________

    Lecture proposée : Livre de l’Apocalypse, chapitre 22, versets 6 à 21.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • “Que la paix de Christ, à laquelle vous avez été appelés pour former un seul corps, règne dans votre cœur. Et soyez reconnaissants.” Colossiens 3. 15

     

    Le premier événement pour lequel nous pouvons dire merci à notre Père est notre naissance dans ce monde. “Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, et je le reconnais bien” (Ps. 139. 14).

    Le deuxième grand événement est celui de notre nouvelle naissance. Gloire à toi Seigneur de m’avoir cherché, trouvé et sauvé pour le présent et l’éternité !

    Le troisième événement, que connaîtront aussi tous les croyants, est l’arrivée dans la gloire du ciel auprès de Jésus. Ce sera soit lors de notre mort, “endormis par Jésus”, soit à sa venue pour chercher les siens si nous sommes encore vivants sur la terre. “Amen ! Viens, Seigneur Jésus !” (Apoc. 22. 20).

    Mais entre notre naissance dans ce monde et notre départ pour la gloire, Dieu fait passer nos vies par divers événements, heureux ou douloureux. Ils ont tous pour but de nous faire progresser et de nous amener “saints et sans défauts devant. Dans son amour” (Eph. 1. 4).

    Nous vivons des moments de joie inoubliables pour lesquels nous rendons grâces. Mais il y a aussi des événements où Dieu semble absent : maladie, perte d’un être cher, chômage, solitude, rejet, divisions dans l’Église… C’est comme dans un tunnel où la lumière ne semble jamais vouloir réapparaître ; c’est le temps des questions sans réponse, des fardeaux qui paraissent trop lourds à porter…

    L’exhortation de l’apôtre — “Soyez reconnaissants” — n’est pas réservée aux moments où tout va bien. Paul savait, par expérience, que la reconnaissance est la réponse naturelle de tout croyant pour les bénédictions accordées. Aussi il encourage à rendre grâces dans toutes les circonstances et pour tout ce que Dieu a fait : “exprimez votre reconnaissance en toute circonstance, car c'est la volonté de Dieu pour vous en Jésus-Christ” (1 Thes. 5. 18).

    Faisons un retour sur l’année écoulée. Nous constaterons avec reconnaissance que le Seigneur ne nous a pas abandonnés, pas un seul jour, et qu’il nous a protégés et bénis. Ainsi nous aurons la preuve, pour nous-mêmes et pour d’autres, que Dieu tient ses promesses : “En effet, Dieu lui-même a dit : Je ne t'abandonnerai pas et je ne te délaisserai pas” (Héb. 13. 5).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruits, car sans moi vous ne pouvez rien faire." Jean 15.5

     

    Sans Jésus, nous ne pouvons rien faire. C’est lui-même qui le dit...

    En effet, que pouvons-nous faire :

    Si nous n'entendons pas le son de sa voix... ? 

    Si nous ne recevons pas ses instructions... ? 

    Si nous ne sommes pas guidés par sa Parole… ?

    "Jésus a et Jésus est tout ce dont vous avez besoin"

    Jésus est le bon berger qui vous accompagne chaque jour. Nous lisons dans Jean 10.27-28 : "Mes brebis écoutent ma voix, je les connais et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle. Elles ne périrons jamais et personne ne pourra les arracher à ma main"

    Le Seigneur désire vous parler chaque jour, afin d'éclairer vos voies et vous guider. Il promet que vous ne serez jamais perdu(e). Pourquoi... ? Parce que vous écoutez sa voix. Persévérez chaque jour dans ces temps que vous mettez à part pour entendre tout ce que le bon berger désire vous communiquer.

    Jésus a des plans de paix pour vous. Recevez tout ce qu’il a prévu pour vous. Vivez ce miracle en sa présence où il veut vous apporter un mot d'encouragement, une parole de consolation, la guérison que vous attendez… Jésus a et Jésus est tout ce dont vous avez besoin.

    Avez-vous réalisé toute l’importance d’écouter Dieu ? Sa Parole est indispensable pour vous conduire pas à pas. Je vous encourage à rester attentif(ve) tous les jours de votre vie au son de sa voix.

    Une action pour aujourd'hui

    Commencez par méditer sa Parole pour comprendre tout ce qu’il veut vous révéler (par exemple, essayez mes plans de lecture sur l'application de la Bible, YouVersion). Vivez ce cœur à cœur avec lui, pour le contempler et l’écouter. Puis, adorez-le en chantant ses louanges de tout votre cœur.

    Éric Célérier

    Source (La Pensée du Jour)

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  • « Vous avez appris qu’il a été dit : 'Tu aimeras ton prochain et tu détesteras ton ennemi'. Mais moi je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous détestent et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin d'être les fils de votre Père céleste. En effet, il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les collecteurs d'impôts n'agissent-ils pas de même ? Et si vous saluez seulement vos frères que faites-vous d'extraordinaire ? Les membres des autres peuples n'agissent-ils pas de même ? Soyez donc parfaits comme votre Père céleste est parfait. » (Matthieu 5:43-48).

     

    Dieu est bon avec les méchants. Il fait preuve de bonté et de grâce envers eux. C’est cette grâce qui a permis à Jésus de dire : « Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font » (Luc 23:34), pendant que ses bourreaux se partageaient ses vêtements en les tirant au sort.

    Imaginez un peu la scène. Cela me rappelle une scène de persécution que j’ai vue en vidéo. J’essaie d’éviter ce genre de vidéos, mais j’ai choisi de regarder celle-ci. Pendant qu’on tuait un chrétien à coups de pied et de barres de fer, des personnes filmaient la scène avec un appareil photo moderne. C’était terriblement choquant et cela donnait envie de vomir. On crucifiait Jésus et alors qu’il agonisait avec des souffrances épouvantables, des soldats se partageaient sa tunique en la tirant au sort, pour retourner tranquillement chez eux auprès de leur femme et enfants, mangeant autour d’un repas chaud. C’est une véritable folie. Et pourtant la grâce et l’amour de Dieu fait pleuvoir sur ces gens.

    Dieu est prêt dans ce temps de grâce à les pardonner et à les aimer. Il les a aimés alors qu’ils n’étaient pas aimables. Dieu a aimé Pilate, il a aimé Hérode, il a aimé les pharisiens méchants qui étaient prêts à tuer la femme adultère, et il a aimé la femme adultère. Dieu a aimé Saul de Tarse qui ravageait l’Église et faisait emprisonner et tuer des chrétiens. Dieu nous a aimés, alors, ne nous irritons pas contre le méchant, mais aimons nos ennemis et prions pour leur salut.

    Jérémy Sourdril

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