• Il faut prendre le temps de traiter la peur, et ne pas faire comme si elle n’était pas la. Si nous avons peur, nous avons peur, et nous ne pouvons pas nous faire croire le contraire. Nous savons si nous avons peur. Cette peur, il faut la traiter. Il faut la prendre comme un objet contaminé, et la séparer du reste de nos pensées. Il faut ensuite la traiter par la Parole de Dieu et la prière et la faire disparaître à toujours.

    Certains ont peur de parler aux chrétiens de leur entourage. Ils reçoivent des pensées de Dieu, des prophéties et des révélations intérieures réelles, et ils les gardent pour eux. Ils deviennent improductifs pour le Royaume. D’autres encore ont peur de se parler à eux-mêmes. Ils ont peur de dire : « Pourquoi t’abats-tu, mon âme, et gémis-tu au dedans de moi ? Espère en Dieu, car je le louerai encore; Il est mon salut et mon Dieu » (Psaumes 43:5). Beaucoup ont peur des inconvertis. Ils n’osent pas faire le premier pas pour leur parler, ils n’osent pas les conseiller, ils n’osent pas leur exprimer leur amour et ce que Dieu leur a dit à leur sujet, ils n’osent pas leur parler de Jésus-Christ, ils ont peur de témoigner de leur foi. Je lutte parfois contre cette peur. Mais elle disparaîtra totalement. Je déclare que tu vas parler à cette personne, et que la peur est morte.

    La peur est morte, sans pouvoir et sans puissance. La peur n’a de pouvoir que ce que vous lui permettez d’accomplir. Si donc la peur n’est permise que par vous, vous en êtes donc le maître et le directeur. Vous pouvez donc licencier votre peur, la renvoyer, la disqualifier, l’éliminer, la rayer de votre vie ! La peur ne nous a jamais amenés à faire le bien. Elle nous a parfois évité de faire le mal, mais elle ne nous a jamais poussés à faire le bien ! Jésus n’a jamais été poussé par la peur. Les apôtres ont toujours refusé d’être dirigés par la peur. Ils ont été poussés par l’Esprit de Dieu pour faire des choses extraordinaires et glorieuses, que l’oeil n’avait pas encore vues, et dont l’oreille n’avait jamais encore entendu parler ! Et Dieu s’est glorifié. La peur a été vaincue.

    Jérémy Sourdril

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  • On aura pour ennemi les membres de sa propre famille. Matthieu 10.36

     

    Des croyants se réunissaient régulièrement dans un local jouxtant la maison d'un libre-penseur, très orgueilleux et très riche. L'épouse et la fille aînée de ce dernier persistaient à y aller malgré les menaces de l'homme.

    Un jour, il les attend sur le pas de la porte et, s'adressant à sa fille, il l'interroge :

    - On m'a dit, Marie, que tu t'es convertie. Est-ce le cas ?

    - Père, je t'aime tout comme j'aime le Seigneur.

    Il saisit la Bible de sa fille, feuillette le livre. Puis il pointe de son doigt la page où figure le nom de sa fille :

    - Ne t'ai-je pas menacée de te déshériter le jour où tu deviendra pieuse ? Alors, je tiendrai ma parole. Va ton chemin, et moi, je te rayerai de la liste de les enfants.

    La fille se voit obligée de quitter la maison.

    Quelques temps plus tard, en visite dans les environs, elle apprend que son père est très malade, il craint même de mourir. Il attend sa venue, le plus tôt possible. Elle se rend auprès de lui, sans tarder. Effectivement, le père, mal en point, souffre dans sa conscience de son attitude envers celle qu'il a déshéritée. Le père et sa fille s'entretiennent longuement ensemble. Il accepte qu'elle prie avec lui et lui dise comment il pourrait être délivré de sa conscience tourmentée, en reconnaissant devant Dieu sa manière d'agir.

    Au bout de trois jours, sa conscience se réveille, il confesse son péché. Sa vie est transformée, à la grande joie de tous les siens.

    Charles Rick

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    Lecture proposée : 2ème livre des Chroniques, chapitre 33, versets 1 à 13

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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  • L'Éternel est mon berger ; je ne manquerais de rien... Même si je marcherai par la vallée de l'ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal ; car tu es avec moi. Psaume 23. 1, 4

    Notre Sauveur Jésus Christ... a annulé la mort et a fait luire la vie et l'incorruptibilité par l'évangile. 2 Timothée 1. 10

     

    Un prédicateur, encore jeune, venait de perdre sa femme lorsque, dans son chagrin d'enfant, sa petite fille lui demanda : - Puisque Jésus est mort pour nos péchés, comment se fait-il que nous devions encore mourir ?

    Le père ne répondit pas tout de suite, cherchant une explication approprié à l'âge de l'enfant. En se rendant au cimetière en voiture, alors qu'ils suivaient un gros camion, le papa attira l'attention de la fillette sur ce lourd véhicule et posa cette question : - Si nous devions être écrasés, préférerais-tu que ce sois par le camion ou par son ombre ? - Par son ombre, car cela ne nous ferais pas mal !

    Le père marqua un silence et reprit d'une voix émue : - Vois-tu, en mourant sur la croix, Jésus s'est fait écraser comme par le poids lourd. Toute la colère de Dieu est tombée sur lui, pour que nous n'ayons plus qu'a traverser l'ombre de la mort (d'après R. Zacharias)

    Le jour, je suis sous ta lumière ;

    La nuit, mon sommeil est serein.

    Au matin, ton regard m'éclaire

    Et me guide dans mon chemin ;

    Et chaque soir, ô tendre Père,

    Tu prépares mon lendemain.

    Je vois ainsi venir le terme

    De mon voyage en ces bas lieux,

    Et j'ai l'attente vive et ferme

    Du saint héritage des cieux ;

    Sur moi si la tombe se ferme,

    J'en sortirai tout glorieux.

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Pour nous, frères, après avoir été séparés de vous pour un temps, de visage mais non de cœur, nous avons d’autant plus ardemment désiré voir votre visage. C’est pourquoi nous avons voulu aller vers vous, du moins moi Paul, une fois et deux fois, mais Satan nous en a empêchés.” 1 Thessaloniciens 2. 17, 18

     

    Paul brûlait du désir de revoir ses chers Thessaloniciens convertis depuis peu de temps et qui enduraient de sévères persécutions. Nous ignorons de quelle manière, mais Satan l’en avait empêché ! Paul et Silas en avaient conclu qu’ils ne pouvaient aller, mais que Timothée pouvait le faire.

    Quand Dieu agit par le moyen de ses serviteurs, Satan rugit contre eux. Il ne se laisse pas déposséder sans susciter la réaction de ceux qu’il tient sous sa domination. Mais Dieu est plus fort que Satan, qui n’est qu’une créature, et il permet les attaques de l’ennemi pour éprouver et pour fortifier les croyants.

    À son retour, Timothée apporte de bonnes nouvelles des Thessaloniciens et elles réjouissent Paul et Silas. Une porte leur était alors ouverte à Corinthe, ils attendent avec prières que Dieu leur ouvre le chemin vers Thessalonique (1 Thes. 3. 11). Ils poursuivront donc leur service en Grèce et Paul visitera Thessalonique lors de son troisième voyage missionnaire (Act. 20. 1-3 ; 1 Tim. 1. 3).

    Ces expériences nous éclairent quand nous rencontrons des obstacles sur notre chemin. En effet, lorsque nous constatons que le Seigneur enlève ces obstacles, nous nous réjouissons : Dieu « ouvre la porte », comme nous le disons. Nous prenons cela comme une marque de l’approbation divine et nous avons souvent raison de le penser.

    Un danger est de croire que le premier obstacle rencontré est une indication divine à ne pas persévérer dans notre action. Mais si Dieu laisse des obstacles insurmontables après nos prières et nos efforts pour les franchir, alors nous pouvons estimer que Dieu « ferme la porte ». Dans ce cas Dieu ne manque pas d’ouvrir une autre direction : “Je t’instruirai, et je t’enseignerai le chemin où tu dois marcher ; je te conseillerai, ayant mon œil sur toi” (Ps. 32. 8). Paul et ses compagnons en avaient fait l’expérience précédemment (Act. 16. 6-12).

    Seule la communion avec Dieu peut nous garder en paix quand nous sommes ralentis ou arrêtés par un obstacle. Restons assurés que Dieu veut nous faire du bien et qu’il veut mener à bonne fin ce qu’il s’est proposé d’accomplir.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • “Votre Père sait de quoi vous avez besoin” Matthieu 6.8

     

    Jésus a dit : "En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés. Ne leur ressemblez pas, car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez" (v.7-8). 

    “Prie ton Père qui est dans le lieu secret, et ton Père qui voit dans le secret te le rendra”

    Souvent, quand les gens nous disent : “Je ne sais pas comment prier”, ils veulent dire qu'ils ne savent pas prier comme nous. Ils ne savent pas utiliser notre « jargon chrétien ». Jésus dit de ne pas vous en faire si vous ne trouvez pas les mots justes “car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez”. 

    Dieu écoute votre cœur plus que vos mots. Pas besoin d'avoir des complexes. Il ne nous classe pas selon notre éloquence. Comparez la prière à la respiration. Nous respirons instinctivement sans en avoir conscience. C'est un réflexe naturel venant du besoin permanent en oxygène. Voilà comment Dieu veut que nous entrions en communication avec lui. Il veut être l'air que nous respirons, l'environnement de notre vie. 

    Edwin Keith a dit : “La prière est l'expiration de l'esprit de l'homme et l'inspiration de l'Esprit de Dieu”. La prière nous permet de vivre en contact permanent avec Dieu. Jésus a dit : “Prie ton Père qui est dans le lieu secret, et ton Père qui voit dans le secret te le rendra” (v.6). 

    Une pensée pour aujourd’hui

    La prière n'est pas la démonstration publique de notre niveau spirituel. Communiquer avec celui que nous aimons exige d'être seul avec lui, loin des dérangements et des distractions. C'est nous et notre Père en conversation intime.

    Bob Gass

    Source (La Pensée du Jour)

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