• Notre Père Céleste nous dit que nous pouvons le faire, mais l’esprit du monde, le vieil homme, nous dira tout le contraire. Il nous dira : « Tu ne peux pas aller te battre contre ce Philistin. Tu n’es qu’un enfant » (1 Samuel 17:33). David n’en avait que faire que ce Goliath soit plus fort que lui, car David avait, à force de plonger son regard sur celui qui est invisible, développé une mentalité du ciel. Lorsque David s’est retrouvé devant cet ours, la toute première fois, il dut prendre une décision. Il avait le choix : fuir et laisser le troupeau à la merci de l’ours cruel, lui faire face d’une manière humaine, ou faire appel au ciel. Devant l’incroyant à qui Dieu nous demande de parler, nous avons le choix : fuir et laisser cette personne dans sa condition de mort, lui faire face d’une manière humaine par des arguments humains, ou faire appel au ciel. Le ciel a la puissance. Le ciel a la solution. Le ciel a l’inspiration.

    David a dû confronter le géant de la peur. L’ours n’était que le Goliath, et David percevait que s’il vainquait la peur, il vaincrait aussi le Goliath. Il savait que s’il réussissait à dépasser le géant de la peur, en continuant à agir et à parler selon ce qu’il avait perçu et vu dans l’invisible, l’ours, le Goliath, ne serait que le reste. S’il remportait la victoire sur la peur, il remporterait également la victoire sur Goliath.

    Les soldats d’Israël, les frères de David et Saül, se sont largement trompés. Ils ont été séduits par un ennemi plus rusé qu’eux. Goliath réclama « un homme » afin de combattre avec lui. Israël regardait trop vers la terre. Ils avaient la mentalité de la terre, la mentalité des impossibilités, la mentalité du raisonnement humain. Ils savaient que pour battre un géant, ils devaient féconder un géant plus robuste encore que Goliath. Et cet homme, ils ne l’avaient pas fécondé. Non seulement ils ne l’avaient pas, mais ils n’avaient pas le temps de le féconder. Ils étaient perdus, et c’est parce qu’ils étaient perdus que Goliath se présenta devant eux pendant 40 jours, se moquant d’eux, mais ne pouvant rien accomplir. Avez-vous peur de lui ?

    Jérémy Sourdril

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  • (Jésus Christ a dit) : J'ai été mort, et voici je suis vivant aux siècles des siècles. Apocalypse 1. 18

     

    La petite Mélodie est en vacances chez sa tante, qui est chrétienne. Celle-ci raconte à la petite fille plusieurs épisodes de la vie de Jésus sur la terre, et sa mort sur une croix. L'enfant écoute avec attention. Mais il est temps de se coucher... Le lendemain matin, on s'installe pour le petit déjeuner. La tante propose : "Mélodie, on va remercier le Seigneur Jésus avant de manger". Mais Mélodie s'exclame : "Ah non, Tatie, puisque tu m'as raconté hier qu'il était mort !"

    D'abord surprise, la tante de Mélodie se rend compte qu'il manque en effet l'essentiel au récit. Et, bien vite, elle poursuit : "Oui, Mélodie, je t'ai raconter hier que Jésus était mort sur une croix, un vendredi. Mais il est ressuscité le dimanche matin. Ses disciples l'ont vu, il leur a parlé, il leur a montré ses mains, ses pieds, où on voyait encore la trace des clous. Il leur à même permis de le toucher. Ils avaient besoin d'être sûrs que ce n'était pas un esprit, mais bien lui, dans un corps, avec de la chair et des os (Luc 24. 36-39) ! Il était mort, mais aujourd'hui, il ne l'est plus ! Il est au ciel, assis sur un trône."

    Oui, la réalité de la résurrection est un fait capital, sans lequel la foi chrétienne n'aurait aucune valeur. Comme le dit l'apôtre Paul : "Si c'est pour cette vie seulement que nous avons espérance en Christ, nous sommes plus, à plaindre que tous les hommes... Mais en réalité, Christ a été ressuscité d'entre les morts" (1 Corinthiens 15. 19, 20).

    Les chrétiens n'ont pas un Sauveur mort, ils ont un Sauveur bien vivant, qui est monté au ciel !

    Source (La Bonne Semence)

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  • “L’Éternel apparut à Abram, et dit : Je donnerai ce pays à ta descendance. Et Abram bâtit là un autel à l’Éternel, qui lui était apparu.” Genèse 12. 7

     

    L’adoration nécessite que Dieu se soit manifesté. C’est uniquement lorsqu’il s’est révélé à l’homme que celui-ci le connaît et peut l’adorer. Ainsi quand l’Éternel non seulement s’est adressé à Abram, mais aussi lui est apparu, alors Abram construit un autel.

    Saisissons-nous à quel point ceci se vérifie pour ce qui concerne notre Seigneur Jésus Christ ? C’est ce qu’il s’attachait à montrer à ses disciples. Tout en lui témoignait qu’il était Fils de Dieu, digne d‘adoration. Mais les disciples étaient si lents à comprendre ! Souvenez-vous de Philippe disant : “Montre-nous le Père, et cela nous suffit”, alors que le Père était parfaitement révélé en Jésus (Jean 14. 8).

    Depuis la Pentecôte, le Saint Esprit envoyé du Père continue cette œuvre de révélation. Le Seigneur n’est plus là physiquement et tout est maintenant affaire de foi ; mais l’Esprit nous le fait connaître pleinement par la Parole, en sorte que pour nous qui ne l’avons pas vu, mais qui croyons, la joie est entière (1 Pi. 1. 8). Ce que la Parole de Dieu nous donne à connaître de notre Seigneur Jésus est incomparablement plus que si nous l’avions vu de nos yeux. Ce fut merveilleux pour les disciples de le voir et de l’entendre, mais nous avons cependant beaucoup plus de lui-même dans et par la Parole.

    Comment cela ? Eh bien, parce que nos oreilles et nos yeux sont des instruments imparfaits. Or, la Bible, ce n’est pas les impressions de Pierre, Matthieu ou Jean concernant le Seigneur ; c’est la vérité de Dieu. Pensons donc à ce privilège inestimable de posséder cette révélation non seulement parfaite, mais aussi permanente : elle ne dépend pas des sables mouvants de nos mémoires, elle n’est pas soumise aux flux et reflux de nos cœurs, et encore moins aux souvenirs d’une vision passagère.

    Dans la Bible, nous avons la révélation exacte, complète et impérissable de Jésus, Dieu sur toutes choses béni éternellement (Rom. 9. 5). Recevant et appréciant cette révélation, nous adorons.

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Nous avons appris l’orgueil de Moab, un orgueil extrême, sa fierté et son orgueil, son courroux et ses vaines prétentions. C’est pourquoi Moab se lamente sur Moab, chacun se lamente." Ésaïe 16.6-7

     

    Dieu hait l’orgueil ! La Bible ne saurait être plus claire : "L’arrogance et l’orgueil, la voie du mal, voilà ce que je hais" (Proverbes 8.13). Ses prophètes n’ont cessé de mettre en garde contre les conséquences de l’orgueil. Ce péché fait tellement horreur à Dieu qu’il ne peut le laisser impuni lorsque la situation l’exige.

    "L’orgueil précède le désastre, et un esprit arrogant précède la chute".

    La condamnation de l’orgueil est au cœur du message d’Ésaïe. Le prophète avertit le peuple que Dieu combattra ce péché dans la vie des individus et des nations. Il annonce que "l’arrogance de l’être humain sera courbée, et abaissé l’orgueil des hommes : l’Éternel seul sera élevé ce jour-là" (Ésaïe 2.17).

    Lorsque Dieu se tourna vers Moab, il ne vit que de l’orgueil. Moab était réputée pour son orgueil "excessif", encore pire que celui du commun des mortels. Elle était connue pour "sa fierté et son orgueil, son courroux". C’était une nation pleine de "vaines prétentions", de "vantardises inutiles". Tout cela ne pouvait avoir qu’une seule conséquence : il fallait que cette nation soit humiliée et qu’il y ait un terme à son orgueil.

    La Bible ne cesse de mettre en garde contre les dangers de l’orgueil. "L’orgueil précède le désastre, et un esprit arrogant précède la chute" nous dit le livre des Proverbes (Matthieu 23.12).

    Quand nos cœurs sont remplis d’orgueil, nous devenons aveugles à nos propres péchés et faiblesses. Nous nous fions à nous-mêmes et à nos capacités et oublions Dieu. L’orgueil est comme un poison qui contamine tous les aspects de nos vies.

    Aujourd’hui, demandez à Dieu de vous débarrasser de tout orgueil. Détournez-vous du péché et de tout ce qui fait obstacle aux bénédictions divines. Imprégnez-vous de sa Parole. Humiliez-vous devant lui et demandez-lui de vous donner un cœur de serviteur.

    Une prière pour aujourd’hui

    Père, je te demande pardon pour mon orgueil. Je dépends entièrement de toi. Je m’humilie devant toi. Je te donne mon temps, mon talent et mon trésor. Au nom de Jésus. Amen.

    John Roos

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Saül était un homme de guerre. Il savait de quoi il parlait. Il avait l’habitude « d’aller et de venir ». David, lui, n’était « qu’un berger de moutons ». C’était une sorte de rêveur. Mais pas n’importe quel rêveur. Il s’attardait souvent sur le ciel. Il existe bien des rêveurs, ils regardent le ciel et s’attardent sur les étoiles. David, lui, voyait bien au-delà des étoiles. Il percevait l’Invisible. Il percevait celui qui est et qui a toujours été. En plongeant dans son regard, il s’imaginait que tout était possible. Il commençait à penser différemment de sa famille. Il élargissait ses limites et redéfinissait, à force de plonger ses yeux sur l’Invisible, les possibilités. C’est comme si, tout à coup, les limites qu’on lui avait inculquées, les paroles qui l’avaient formé, l’enseignement qu’on lui avait donné, devaient être redéfinis par celui qui est invisible. 

    Devant l’ours, David fut vainqueur. Devant le lion, il fut une nouvelle fois vainqueur. Lorsque, pour la première fois, l’ours pénétra sur le terrain qu’il devait surveiller, David l’accueillit avec une pensée différente de celle qu’auraient eue ses frères. Ses frères n’avaient rien perçu, ses frères vivaient dans le naturel, le raisonnement, mais lui vivait dans l’invisible. Il réussit à se saisir des vérités de l’invisible pour en manifester la puissance. Et lorsqu’il le fit, ce n’était plus lui, et il réalisa alors qu’à l’intérieur de lui, une force invisible, en lien avec le ciel, se manifesta en foi, en puissance, en zèle et en hardiesse.

    Devant l’ours terrifiant que représente l’incroyant, nous pouvons facilement être effrayés, d’une peur déraisonnable. Cette peur provient du fait que nous ne nous sommes pas attardés assez sur l’Invisible. Nous n’avons pas assez plongé nos regards sur celui qui siège dans les cieux, sur un trône de gloire que nul ne pourra soutenir. Nous devons regarder fixement vers le Père, et renouveler nos pensées par les siennes. Je vous encourage à regarder aujourd’hui au-delà des étoiles, et à absorber les pensées de votre Père : vous dit-il que vous ne pouvez pas le faire ? Que dit-il ? Parle-t-il l’impossible ? Que vous montre-t-il ?

    Jérémy Sourdril

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