• Dieu est notre refuge et notre force, un secours dans les détresses, toujours facile à trouver. C'est pourquoi nous ne craindrons pas, même si la terre était transportée de sa place, et si les montagnes étaient remuées et jetées au cœur des mers. Psaume 46. 1, 2

     

    Des montagnes “remuées et jetées au cœur des mers” : on imagine l'inquiétude et la terreur qu'entraînerait un tel bouleversement de la nature ! Mais on peut éprouver des sentiments semblables quand on assiste aux changements si rapides de notre époque. De nombreuses personnes se sentent dépassées, oppressées même, par l'évolution accélérée de notre environnement, tant sur le plan des techniques que sur celui des comportements.

    Aucun domaine n'y échappe. Beaucoup d'experts scientifiques craignent un réchauffement gravissime pour la planète dans les décennies à venir, et la montée des océans risque alors de submerger des pays entiers. Les famines, les guerres entraînent des flux migratoires de grande ampleur, et de moins en moins maîtrisés. L'économie et la finance mondiales vacillent sur leur base. Et que dire du développement vertigineux d'Internet et de ses applications, outils aussi géniaux que vulnérables, et par là dangereux ?

    On peut être troublé et se sentir bien fragile devant de telles menaces. Mais Dieu reste le même, il n'y a en lui “pas de variation ni d'ombre de changement” (Jacques 1. 17). De plus il aime tous les êtres humains et leur propose d'être leur refuge éternel. À chacun des siens, de ceux qui lui font confiance, il promet : “Même si les montagnes se retiraient et si les collines étaient ébranlées, ma bonté ne se retirerait pas d'avec toi, et mon alliance de paix ne serait pas ébranlée, dit l'Éternel, qui a compassion de toi” (Ésaïe 54. 10).

    Source (La Bonne Semence)

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  • “Il y a une saison pour tout, et il y a un temps pour toute affaire sous les cieux. Il y a […] un temps de se taire et un temps de parler.” Ecclésiaste 3. 1-7

    “Car si tu [Esther] gardes le silence en ce temps-ci, le soulagement et la délivrance surgiront pour les Juifs d’autre part, mais toi et la maison de ton père vous périrez.” Esther 4. 14

     

    Choisir de se taire ou de parler est essentiellement une question de dépendance de Dieu et d’écoute (dans le sens d’obéissance) de la direction de l’Esprit. “Une parole dite en son temps, combien elle est bonne !” (Prov. 15. 23). Il nous arrive quelquefois de nous dire « j’aurais mieux fait de me taire ! » Nous prenons tout à coup conscience du fait que nos paroles n’ont pas été réfléchies ; cela peut être dommageable pour autrui ou pour soi.

    Voyez Esther : comment ne pas être ému(e) en constatant sa dépendance, son obéissance, son courage ? Elle est prête à payer le prix fort par amour pour son peuple : “Ainsi, j’entrerai vers le roi, ce qui n’est pas selon la loi ; et si je péris, je périrai” (Est. 4. 16). Pendant un temps, “Esther n’avait pas fait connaître son peuple et sa naissance” (2. 10, 20), sur le sage conseil de Mardochée : c’était pour elle le “temps de se taire”. Pourquoi Esther s’est tout à coup résolue à entrer vers le roi pour lui parler ? C’est encore parce qu’au moment propice, Mardochée lui avait conseillé de ne plus garder le silence “en ce temps-ci” (second verset du jour). Elle va parler au roi, non pas avec précipitation, mais tout en usant d’une « stratégie » dont la sagesse nous confond, afin que la finalité soit une bénédiction hors du commun pour elle et son peuple ! Elle osera même multiplier ses requêtes. Quelle hardiesse !

    Le résultat sera à la hauteur de l’énergie de sa foi. Encore aujourd’hui, en Israël, les Juifs ne manquent pas de célébrer chaque année la fête de Purim, en mémoire de ce temps où leur destruction par Haman leur ennemi, fut empêchée, parce qu’une femme sage parla avec les bonnes paroles au bon moment !

    Quelle leçon en tirer ? Même si je ne me trouve pas dans une position élevée, comme croyant, j’ai aujourd’hui un rôle essentiel à jouer dans le déroulement du plan de Dieu par la prière et par mon témoignage (1 Tim. 2. 1-4).

    Source (Plaire au Seigneur)

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  • "Que chacun de vous, comme un bon administrateur des divers dons de Dieu, utilise pour le bien des autres le don particulier qu’il a reçu de Dieu." 1 Pierre 4.10

     

    "Vous avez la responsabilité d’être un bon administrateur de ces dons, non pas pour un usage égoïste, mais pour le bien des autres."

    "Dieu avait donné trois atouts à Esther pour accomplir sa destinée..."

    Savez-vous dans quel but Dieu vous a créé ? Connaissez-vous votre destinée ? 

    Vous devez tout d’abord discerner les dons que Dieu vous a confiés. Ils représentent votre "donne", les cartes que vous avez reçues dans la vie. Il s’agit de tout ce qui ne dépend pas de vous : vos parents, votre nationalité, votre race, votre langue. En font également partie vos dispositions naturelles, c’est-à-dire vos dons spirituels, votre cœur, vos capacités, votre personnalité et vos expériences. Tout cela fait de vous un être unique.

    Vous n’êtes pas responsable des dons que Dieu ne vous a pas confiés. En d’autres termes, si vous n’avez pas de talents artistiques, on ne vous demande pas de peindre comme Rembrandt. En revanche, vous êtes responsable de ceux qu’il vous a donnés.

    Quand vous arriverez au ciel, Dieu ne va pas vous comparer à quelqu’un d’autre, mais à vous seul. Qu’avez-vous fait de ce que vous avez reçu ? Qu’auriez-vous pu accomplir si vous lui aviez fait un peu plus confiance ? Il est dit dans Romains 14.12 : "Ainsi chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même".

    Dieu avait donné trois atouts à Esther pour accomplir sa destinée. Elle était intelligente, belle et jouissait d’une personnalité agréable. Grâce à ces trois qualités, "Esther était considérée avec faveur par tout le monde. […] elle gagna sa faveur [du roi] et sa bienveillance plus que toutes les autres vierges. Alors, il mit sur sa tête la couronne royale et la fit régner […]".

    Dieu avait donné ces dons à Esther dans un but précis. Il en est de même pour vous. Et comme Esther, vous avez la responsabilité d’être un bon administrateur de ces dons, non pas pour un usage égoïste, mais pour le bien des autres. Dieu ne vous a pas confié des dons pour votre propre bénéfice, mais pour celui des autres.

    Pour découvrir votre destinée, vous devez connaître vos talents et décider de l’usage que vous en ferez. 

    Une action pour aujourd’hui

    Cette semaine, j’aimerais que vous dressiez la liste des dons que Dieu vous a confiés – sans oublier tout ce qui ne dépend pas de vous ainsi que vos dispositions naturelles. Posez-vous la question suivante : "Que m’a donné Dieu pour que je le mette au service des autres ?"

    Rick Warren

    Source (La Pensée du Jour)

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  • Proverbes 29.15 - La verge et la correction donnent la sagesse, mais l’enfant livré à lui-même fait honte à sa mère.

     

    Comme vous le savez certainement, certaines lois ont été votées en France pendant la période estivale, et nombreux sont ceux qui se lèvent pour appeler à la prière et à l’action. S’il est bien évident qu’un tel appel est une bonne chose, je suis surprise qu’il faille attendre que de telles lois soient votées pour que nos yeux commencent à s’ouvrir. En effet, cela fait plusieurs années que les choses ont commencé sans que cela semble inquiéter. Progressivement, il a été expliqué qu’interdire n’était pas une bonne chose, enlevant ainsi tout cadre d’autorité pour l’enfant. Nous en sommes donc arrivés à ce que des enfants très jeunes, trois, voire quatre ans n’aient plus de repères, plus de limites.

    Nous avons ainsi levé les interdits et créé des enfants rois, ne se soumettant à aucune personne, que ce soit les parents ou les enseignants. Des enfants n’acceptant pas qu’on leur dise : « Non ce n’est pas permis » et qui s’autorisent ainsi à faire tout et n’importe quoi. Combien d’enfants ont été qualifiés d’hyperactifs alors qu’ils n’étaient en fait pas cadrés et de ce fait, insupportables et ingérables ? Nous avons ainsi ouvert la porte à l’ennemi sur la vie de nos enfants. Ce qui se passe aujourd’hui, n’est qu’une étape de plus. L’insoumission, quoi qu’on en dise, est une soumission au Mal, voilà pourquoi la Parole de Dieu nous encourage à éduquer et à corriger nos enfants (Éphésiens 6.4).

    En tant que parents, il est important de poser des limites à nos enfants et qu’ils comprennent qu’ils doivent se soumettre au papa et à la maman, à l’enseignant lorsqu’ils sont à l’école… Qu’ils comprennent qu’il y a des règles à la maison, à l’école, quand on va chez des amis…

    Ensuite, si certaines lois sont abjectes, je pense que pour bon nombre d’entre nous, il nous faut revoir notre façon de faire. En effet, combien d’enfants restent devant le téléviseur pendant des heures, voyant tout un tas de choses qui ne devraient pas se trouver sous les yeux d’un enfant. Toutes ces choses pénètrent dans leur petit cœur et font des dégâts considérables.

    Oui, effectivement, il est grand temps de se réveiller, de prier et de se lever, mais cela commence dans nos maisons.

    Je laisse cela à votre réflexion.

    Ézéchiel 37 Ministères © Août 2018 www.mfpg.be

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  • Moi, je suis venu pour que les hommes aient la vie et qu’ils l’aient en abondance. Jean 10.10

     

    J’ai lu l’autre jour une publicité dont le titre était : « Votre bien-être commence par l’intérieur ». Ce slogan visait notre hygiène de vie alimentaire. Il a encore plus de sens en ce qui concerne notre état psychologique et spirituel.

    Nous vivons dans une société où le stress peut être notre quotidien dans tous les domaines, de notre famille jusqu’au travail, et parfois même dans nos moments de loisir. Il est important de ne pas nous laisser emprisonner dans son tourbillon infernal. Pour notre “bien-être intérieur”, il est nécessaire de savoir prendre du recul pour que la tension ne s’amplifie pas au fur et à mesure des nouvelles difficultés et finisse par nous engloutir.

    Bien plus que dans un régime alimentaire, le réel bien-être intérieur trouve sa source auprès de Dieu. Tant de personnes ne savent pas qui elles sont ni quel sens a leur vie. Elles en sont déboussolées, ne sachant comment vivre. L’Évangile donne l’assurance d’être aimé de Dieu, de trouver le pardon en Jésus, de recevoir par lui les réponses à nos questions existentielles.

    Oui, notre être intérieur a besoin de sérénité, de certitude, de paix, de joie, d’harmonie… Jésus apporte la vie, la vie véritable en abondance, pas un ersatz partiel et éphémère. Tournons-nous donc vers Lui !

    Bernard Delépine

    __________________

    Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 4, versets 7 à 15.

    Source (Vivre Aujourd'hui)

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