• Dieu ne nous a pas donné un esprit de crainte, mais de puissance, et d'amour, et de sobre bon sens. N'aie donc pas honte du témoignage de notre Seigneur. 2 Timothée 1. 7, 8

     

    Tous les quatre ans, un événement sportif captive des millions de personnes dans le monde. Le 30 juin 2002, à Yokohama (Japon), le stade est plein : c'est la finale de la coupe du monde de football. Sous le regard enthousiaste des spectateurs et téléspectateurs, l'équipe brésilienne est victorieuse. Les joueurs rassemblés au milieu du stade sont ovationnés, et voici que l'un d'entre eux se détache du groupe et enfile un T-shirt sur lequel on peut lire : "I belong to Jesus", soit en français : "J'appartiens à Jésus".

    Nous admirons le courage de cet homme qui avait tout préparer pour pouvoir parler au monde entier de sa foi en Jésus-Christ. Par son moyen, Dieu a ainsi permis que ce témoignage soit donné à des millions de personnes, et lui seul en connaît les résultats.

    Nous n'aurons peut-être pas tous l'occasion de donner un témoignage d'une telle ampleur. Mais, si nous appartenons à Jésus, nous sommes ses disciples, et donc tous invités à le montrer autour de nous, par nos attitudes, nos paroles, nos occupations... Que savent de notre foi nos voisins, nos collègues de travail, nos camarades ? Il ne convient pas d'afficher son christianisme de manière irréfléchie. Mais il ne faut pas hésiter à rendre témoignage lorsque l'occasion se présente. L'apôtre Paul, dans le bateau qui l'emmenait prisonnier à Rome, a rendu grâce à Dieu avant de manger, devant ses 275 compagnons de voyage (Actes 27. 35-37). C'est lui aussi qui a écrit : "Je n'ai pas honte de l'évangile, car il est la puissance de Dieu pour sauver quiconque croit" (Romains 1. 16).

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “Notre cité à nous se trouve dans les cieux, d’où aussi nous attendons le Seigneur Jésus Christ comme Sauveur, qui transformera notre corps d’abaissement en la conformité du corps de sa gloire, en déployant le pouvoir qu’il a de soumettre absolument tout à son autorité.” Philippiens 3. 20, 21

     

    Baños, ville touristique d'Équateur, est située dans la province du Tungurahua, au pied du volcan du même nom. La ville vit sous la menace du Tungurahua, un volcan du type explosif. Riches en eau, ces volcans sont susceptibles de générer des explosions importantes avec projection d’énormes quantités de débris et de cendres brûlants, très haut dans l’atmosphère. Il est sous surveillance permanente.

    Fin 1999, le volcan Tungurahua s’est réveillé puissamment au point de provoquer l’évacuation de toute la population. Avec ses éruptions intermittentes, le danger reste bien présent, d’autant plus qu’il est de nouveau entré dans une phase très active en 2016. On comprend pourquoi les habitants de Baños sont astreints à des exercices d’évacuation totale et doivent être prêts à partir tout moment.

    « Prêts à partir », cette expression implique beaucoup de choses difficiles : quitter sa maison, des lieux qui nous sont chers, et partir sans pouvoir emporter quoi que ce soit. N’est-ce pas ce que le chrétien doit être prêt à faire ?

    Nos contemporains, comme les hommes du temps de Caïn, organisent un monde où Dieu est exclu. Le résultat est que ce monde mûrit pour le jugement annoncé de Dieu “la colère qui vient”. Est-ce pour échapper au jugement du monde, à “l’heure de l’épreuve qui va venir sur la terre habitée tout entière, pour éprouver ceux qui habitent sur la terre” (Apoc. 3. 10), que le chrétien doit se préparer ? Non, il doit être prêt à partir, parce que son Seigneur vient lui-même le chercher (1 Thes. 4. 16-18).

    Le croyant sait qu’être avec Jésus sera de loin le meilleur (Phil. 1. 23) ; que, près de lui, il sera consolé des peines d’aujourd’hui ; qu’il connaîtra à fond ce qu’il ne connaît qu’en partie maintenant (1 Cor. 13. 12) ; qu’il sera semblable à son Seigneur, car il le verra tel qu’il est (1 Jean 3. 2) ; qu’il chantera avec tous les rachetés le cantique nouveau (Apoc. 5. 9). Il sait qu’il régnera avec lui (2 Tim. 2. 12), étant associé à son triomphe. Alors oui, il est « prêt à partir ».

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Moïse objecta : et s’ils ne me croient pas et ne m’écoutent pas." Exode 4.1

     

    L’intimidation est partout : dans les cours de récréation, au travail, au sein d’une famille, dans votre quartier, etc. Elle génère de la peur et par conséquent, la paralysie. D’ailleurs, lors d’un combat de boxe, souvent les futurs adversaires font tout pour intimider leur rival car ils savent qu’un ennemi impressionné est un ennemi vaincu.

    "Le Seigneur est celui qui vous qualifie."

    Lorsque Dieu vous appelle à le servir, il en va souvent ainsi. En effet, certains se retrouvent intimidés face aux instructions divines. Quand Dieu appela Moïse, ce dernier fut inquiet en pensant au peuple, il craignait sa réaction : "S’ils ne me croient pas et ne m’écoutent pas." Lorsque Néhémie entreprit de rebâtir la muraille de Jérusalem, plusieurs ennemis essayèrent de l’effrayer pour qu’il arrête son service pour Dieu. Il comprit la ruse, et poursuivit en faisant confiance au Seigneur.

    Vous arrive-t-il d’être inquiet en pensant aux réactions de votre entourage ? Vous désirez servir le Seigneur mais vous craignez de devoir affronter critiques ou médisances. "Que vont-ils penser de moi ? Et s’ils ne croient pas en moi ? Pire, quand je vais communiquer des instructions, s’ils ne m’écoutent pas… De quoi aurais-je l’air ?" Moïse ressentit les mêmes inquiétudes.

    Le Seigneur est celui lui qui vous qualifie. N’ayez pas peur des répercussions suite à ce que vous entreprendrez. Moïse ne se sentait pas à la hauteur d’une telle sollicitation et pourtant, il est considéré comme l’un des plus grands leaders de la Bible.

    Réalisez que "Celui qui vous a appelé est fidèle, et c'est lui qui le fera". Faites confiance à Dieu, Il ne s’est pas trompé en vous appelant. Lui voit en vous ce que vous n’imaginez même pas. 

    Une prière pour aujourd’hui

    Seigneur, au-delà de l’intimidation qui m’entoure, je prends la décision de te faire confiance, amen.

    Patrice Martorano

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “L’homme noble se propose des choses nobles, et il se maintiendra par des choses nobles.” Ésaïe 32. 8

     

    Le chrétien est investi de plusieurs titres qu’il doit à Dieu. Il est fils dans une famille dont Dieu est le Père, serviteur du Roi des rois, ambassadeur de Christ dont il porte le nom.

    Quelles capacités ces titres laissent-ils supposer pour ceux qui les portent ! Alors, des choses élevées peuvent être envisagées, jusqu’à leur donner un plein développement. Seulement les moyens de les réaliser doivent être du même ordre d’élévation, sinon celui qui agira ne sera pas à la hauteur de ses titres.

    L’apôtre Paul nous propose des choses nobles qui sont en rapport avec nos objectifs et nos moyens. Il utilise à cet effet l’adjectif « digne » qui, en grec, porte l’image de l’équilibre des deux plateaux d’une balance. Par extension, il signifie qu’il y a une correspondance heureuse entre deux choses, par exemple pour un bon repas « le repas était digne d’un grand cuisinier ».

    – Conduisez-vous d’une manière digne de l’évangile (Phil. 1. 27) : “L’évangile est la puissance de Dieu pour sauver quiconque croit” (Rom. 1. 16). Quel message ! Annonçons donc l’évangile sans restriction et avec zèle. Mais se conduire d’une manière digne de l’évangile signifie correspondance entre lui et ma conduite quotidienne. Laissons Christ vivre en nous et l’équilibre entre nos paroles et notre conduite donnera alors l’impact que mérite l’Évangile

    – Marchez d’une manière digne de votre appel par Dieu (Eph. 4. 1) : la place que Dieu nous a donnée c’est d’être rendus vivants avec Christ, d’être ressuscités avec Christ, d’être assis dans les lieux célestes dans le Christ (ch. 2. 1-6). Le chrétien dans un monde marqué par le péché peut maintenant vivre libre et victorieux. C’est absolument une chose noble de pouvoir se comporter comme un prince au lieu de se traîner dans la boue du péché ! Veillons à être cohérent !

    – Marcher d’une manière digne du Seigneur (Col. 1. 10) : le Seigneur m’a aimé et s’est livré lui-même pour moi. Le Seigneur a toujours fait le plaisir de Dieu sur la terre. L’équilibre c’est que je peux lui plaire en toutes choses, je peux grandir vers lui, à sa ressemblance ! Mais pour ces « je peux », j’ai besoin de sa grâce.

    Il est possible, nous le savons bien, de marcher d’une manière digne de l’évangile, de notre appel, du Seigneur. Vivons dans l’intimité de Dieu, avec le secours du Saint Esprit, en nous nourrissant de la Bible !

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Je rends continuellement grâce à mon Dieu, faisant mention de toi dans mes prières, parce que je suis informé de la foi que tu as au Seigneur Jésus, et de ton amour pour tous les saints. Je lui demande que ta participation à la foi soit efficace pour la cause de Christ, en faisant reconnaître en nous toute espèce de bien." Philémon 1.4-6

     

    Paul écrivit cette courte lettre à Philémon qui travaillait avec lui pour le Royaume de Dieu. Notez que Paul avait entendu parler de la foi et de l’amour de Philémon.

    "Vous pouvez et devez aimer Dieu et les gens grâce à l’amour qu’Il a mis dans votre cœur par le Saint-Esprit !"

    L’amour de Philémon n’était pas seulement pour Dieu ; il était aussi pour tout le peuple de Dieu.

    Nous ne pouvons pas seulement aimer Dieu ; nous devons aimer les autres. J’ai entendu des pasteurs dire : "Le ministère serait formidable s’il n’y avait pas les gens !" Ça semble bizarre, mais honnêtement, je ne sais pas comment on pourrait être un pasteur disant aimer Dieu et ne pas aimer les gens.

    Le partage de votre foi devient actif et efficace lorsque vous reconnaissez que tout bonne chose qui est en vous vous est donné par le Christ Jésus.

    Une des caractéristiques qui est en vous est l’amour de Dieu. Vous pouvez et devez aimer Dieu et les gens grâce à l’amour qu’Il a mis dans votre cœur par le Saint-Esprit !

    Une action pour aujourd'hui

    Si vous aimez Dieu, vous aimerez également votre prochain. Admettez que l’amour de Dieu est en vous et dites "J’aime mon prochain de l’amour que Dieu a répandu en moi par le Saint-Esprit."

    Keith Butler

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires