• Souviens-toi de ta miséricorde, ô Éternel, et de ta bonté ; car elles sont de tout temps. Ne te souviens pas des péchés de ma jeunesse ni de mes transgressions ; selon ta grâce souviens-toi de moi à cause de ta bonté, ô Éternel. Psaume 25. 6, 7

     

    Trois croix sont dressées sur la colline. Jésus est crucifié entre deux malfaiteurs qui, au début de la scène, l'injurient. Puis l'un d'eux change d'attitude en reconnaissant que lui-même subit un jugement mérité. Ce revirement est-il produit par la prière de Jésus pour ses ennemis ? L'évangile ne le dit pas, mais nous rapporte les paroles de cet homme souffrant qui a pris la défense de Jésus, seul contre tous. Il entendait les moqueries, il voyait Jésus réduit, semblait-il, à une impuissance totale, et pourtant, contre toute attente, il s'est tourné vers lui avec confiance : “Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume”. Il a eu, pour le crucifié qui allait mourir, ce regard lucide de la foi: il a discerné en Jésus le roi qui reviendrait.

    La réponse de Jésus est immédiate : “En vérité, je te le dis, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis”. Aucun doute ne plane dans les paroles du Sauveur au sujet de l'avenir du brigand.

    Le malfaiteur a compris que ses péchés n'étaient pas une barrière pour se tourner vers Jésus. C'est cela la foi: croire en l'amour de Dieu, qui a donné son Fils pour expier tous nos péchés. Par amour pour des pécheurs, Jésus a accepté d'être châtié, et placé comme ce brigand dans ce lieu de honte et de souffrance pour le sauver et lui ouvrir toutes grandes les portes du paradis de Dieu.

    Si notre conscience est réveillée pour reconnaître nos péchés, nos yeux seront ouverts pour discerner la grandeur et la beauté morale du Sauveur.

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Pâques c'est pour nous pas la fête du printemps symbolisée par les œufs et la sortie de leur terrier des petits lapins, pour nous c'est la victoire de Christ sur la mort et l'accomplissement de son sacrifice pour nous sauver, alors louons Christ vainqueur et miséricordieux envers nous pauvre pêcheurs,notre Seigneur est toujours vivant

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • “Pourquoi ce parfum n’a-t-il pas été vendu trois cents pièces d’argent et donné aux pauvres ?…. Jésus dit : Permets-lui d’avoir gardé cela pour le jour de ma mise au tombeau…” Jean 12. 4-7

    [Joseph d’Arimathée] vint et enleva le corps de Jésus. Nicodème aussi, celui qui au commencement était allé de nuit vers Jésus, vint apportant un mélange de myrrhe et d’aloès, d’environ cent livres [30 kg]. Ils prirent le corps de Jésus et l’enveloppèrent de linges, avec les aromates, comme les Juifs ont coutume d’ensevelir.” Jean 19. 38-40

     

    Six jours avant la Pâque, dimanche pour nous, Jésus se rend à Béthanie, dans la maison où habite Lazare, l’homme qu’il a ressuscité. Au cours du repas du soir, Marie, sœur de Lazare, répand sans mot dire un parfum de grande valeur sur les pieds du Seigneur et les essuie avec ses cheveux. Judas Iscariote (dans l’évangile selon Jean), puis quelques-uns des assistants (selon Marc), enfin les disciples dans leur ensemble (selon Matthieu) s’indignent — tant il est vrai que la critique est contagieuse. Quel gaspillage, alors qu’il y a de si grands besoins parmi les pauvres qui les entourent ! Et le Maître la laisse faire !

    Mais pour Marie, rien n’était trop précieux pour en faire don à Jésus qui avait captivé son cœur ! L’onction était habituellement signe de réjouissances, mais ici elle est annonciatrice de la mise au tombeau de Jésus. C’est pourquoi Jésus a magnifié le geste de Marie, la seule à comprendre ce qu’il allait affronter : la mort sur la croix.

    Joseph d’Arimathée était un homme riche et un membre important du sanhédrin ; mais il n’avait jamais osé dire qu’il était disciple de Jésus. À la mort de Jésus, il trouve pourtant le courage de se rendre auprès de Pilate pour lui demander le corps du Seigneur. Contre toute attente, Pilate lui accorde sa requête.

    Nicodème, un autre membre du sanhédrin — le seul qui soit un jour intervenu en faveur de Jésus (Jean 7. 50-52) — rejoint Joseph à Golgotha. Il apporte un mélange d’environ 30 kg de myrrhe et d’aloès, une véritable fortune, pour embaumer le corps de Jésus. Ensemble, ils mettent son corps dans un tombeau qui n’avait jamais été utilisé auparavant.

    Pour eux comme pour Marie, rien n’est trop coûteux, rien n’est trop précieux pour montrer leur attachement à celui qu’ils ont reconnu comme le Fils de Dieu.

    Seigneur, je veux être capable de montrer mon attachement à ta personne, en toutes circonstances !

    Source (Plaire au Seigneur)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • "Prenez modèle sur Jésus-Christ. Ayez en vous les pensées et les sentiments qui l’animaient jadis." Philippiens 2.5

     

    Avant de laisser les Israélites pénétrer dans la Terre Promise, Dieu dut attendre quarante ans, le temps que la génération aux attitudes négatives, incrédules et désobéissantes meure.

    "Jésus est notre norme, notre modèle."

    De la même manière, vous ne pouvez pas hériter de la vie abondante que Dieu vous destine si vous ne changez pas d'attitude, si vous ne modifiez pas votre façon de penser. 

    Mais cela ne se fera pas tout seul. Vous devrez faire la guerre à vos anciennes attitudes et façons de penser qui chercheront continuellement à reprendre le dessus et à voler les bénédictions de Dieu dans votre vie. Faites-vous la guerre à vos mauvaises attitudes, ou les laissez-vous prendre le contrôle de votre existence ?

    Ce n'est pas parce que vous progressez et mûrissez que vous acquérez automatiquement les bonnes attitudes. J'ai vu beaucoup de personnes d'un certain âge avec des mentalités exécrables ! Acquérir de bonnes attitudes nécessite beaucoup d'efforts. C'est un combat de chaque jour.

    Alors quelle est votre norme ? Savez-vous quelles sont les bonnes attitudes ? Philippiens 2.5 nous dit : "Prenez modèle sur Jésus-Christ. Ayez en vous les pensées et les sentiments qui l'animaient jadis."

    Pour résumer, Jésus est notre norme, notre modèle. Il est celui auquel nous devons nous efforcer de ressembler. C'est son altruisme qui l'a conduit à mourir pour nous sur la croix, pour que nous puissions mener une vie abondante. Et c'est votre bonne attitude qui ouvrira la porte à cette abondance dans votre vie.

    Une action pour aujourd'hui

    Faites la guerre aux mauvaises attitudes qui vous ferment la porte aux bénédictions de Dieu. Prenez exemple sur Jésus afin de vivre la vie abondante que Dieu a prévue pour vous.

    Joyce Meyer

    Source (La Pensée du Jour)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Pilate sortit encore et leur dit : Voici, je vous l'amène dehors, afin que vous sachiez que je ne trouve en lui aucun crime. Jésus sortit, portant la couronne d'épines et le manteau de pourpre. Pilate leur dit : Voici l'homme ! Jean 19. 4, 5

     

    “Voici l'homme !” déclare Pilate en faisant sortir Jésus du palais du gouverneur. Revêtu par dérision d'un manteau royal, et couronné, mais d'une couronne d'épines, Jésus est là devant la foule. Comment va-t-elle réagir à cette parole de Pilate ? Elle pourrait demander la libération de Jésus… elle réclame sa mort à grands cris.

    Au cours de l'histoire, on a souvent fait de Jésus le symbole de toutes les condamnations d'innocents. Combien en effet ont subi et subissent encore un jugement arbitraire ! Le Dieu juste est très sensible aux injustices et ne les laissera pas impunies.

    Cependant, la mort de Jésus est infiniment plus qu'une révoltante injustice. S'il a connu la souffrance intense de la crucifixion, s'il a été mis à mort alors qu'il était le seul juste, Jésus a lui-même donné sa vie, librement : “Moi je laisse ma vie afin que je la reprenne. Personne ne me l'ôte, mais moi, je la laisse de moi-même ; j'ai le pouvoir de la laisser, et j'ai le pouvoir de la reprendre : j'ai reçu ce commandement de mon Père” (Jean 10. 17, 18). Il est Dieu fait homme, qui se donne par amour.

    Le prophète Zacharie a écrit au sujet du peuple d'Israël : “Ils regarderont vers celui qu'ils ont percé” (Zacharie 12. 10), et l'apôtre Jean cite ces mots dans son évangile (Jean 19. 37). C'est un avertissement pour tous ceux qui rejettent Christ. Mais quel bonheur aujourd'hui pour ceux qui portent sur lui le regard de la foi! Ils contemplent avec adoration l'homme juste et parfait qui meurt pour sauver des pécheurs, vous et moi.

    Source (La Bonne Semence)

    Partager via Gmail

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires