• “Viens, lui dit Jésus. Aussitôt, Pierre sauta de la barque et se mit à marcher sur l'eau, en direction de Jésus. " Matthieu 14:29

     

    Il n'est pas toujours évident de faire un pas de foi pour répondre à l'appel de Dieu, surtout lorsqu'humainement parlant il n'y a rien qui nous rassure. "La barque, déjà au milieu de la mer, était battue par les flots ; car le vent était contraire.” Matthieu 14:24

    Il est peut-être temps pour vous de sortir de votre barque, de faire un pas de foi...

    Pierre n'a pas hésité une seule seconde à sortir de la barque pour entamer une marche de l'impossible. Les yeux fixés sur Jésus il vit un véritable miracle et marche sur l'eau.

    Il y a un certain temps déjà que j'essaie d'apprendre à ma petite fille de six ans à faire du vélo, les tentatives se succédaient et à chaque fois c'était la même chose : effrayée par tous les obstacles qui l'entouraient elle tombait et se mettait à pleurer en me disant : “Papa, je ne veux plus faire du vélo !”

    Cependant, je savais qu'elle était capable de faire de la bicyclette. Il fallait simplement que je puisse trouver les mots pour la rassurer. Je pris position alors à une trentaine de mètres, en lui disant "ma fille : regarde-moi et viens ! " A partir de cet instant, il se passa quelque chose en elle, comme un déclic, et elle se mit à pédaler encore et encore au point de ne plus vouloir s'arrêter....

    Il y a certainement un domaine de votre vie au sein duquel Dieu veut intervenir afin de vous faire vivre une chose qui est humainement impossible. Et pour ce faire, il vous demande d'effectuer un pas de foi!

    Pierre aurait pu décider de rester dans la barque quelque peu sécurisante avec les autres disciples. Néanmoins, il a préféré répondre à l'appel de son maître : Viens, lui dit Jésus ! "Toi, tu as la foi ; et moi, j'ai les oeuvres. Montre-moi ta foi sans les oeuvres, et moi, je te montrerai la foi par mes oeuvres." Jacques 2:18

    Il est peut-être temps pour vous de sortir de votre barque, de faire un pas de foi, pour répondre à celui qui vous appelle à vivre votre miracle.

    "Or sans la foi il est impossible de lui être agréable; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croit que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. " Hébreux 11:6

    Un engagement pour aujourd'hui

    Seigneur, me voici, par la foi je réponds à ton appel !
     

    Source (La Pensée du Jour)

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  • “Jaebets invoqua le Dieu d'Israël, en disant : Si tu me bénis et que tu étendes mes limites, si ta main est avec moi, et si tu me préserves du malheur, en sorte que je ne sois pas dans la souffrance !... Et Dieu accorda ce qu'il avait demandé.” 1 Chroniques 4.10

     

    Avoir la bénédiction de quelqu'un peut être d'une importance capitale, parfois. Imaginez la joie d'un jeune homme, qui demande à un père la main de sa fille, et qui s'entend répondre : “Oui, tu as ma bénédiction.”

    L'héritage des enfants de Dieu est à vous !

    Imaginez maintenant ce que c'est que d'avoir la bénédiction de Dieu lui-même… Jaebets, dans sa prière, a dit à Dieu : "Si tu me bénis". Jaebets avait besoin de demander la bénédiction, s'il la voulait.

    Pour nous, enfants de Dieu, les choses sont différentes : Nous avons déjà sa bénédiction.
    Éphésiens 1.3 dit : "Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, qui nous a bénis de toutes sortes de bénédictions spirituelles dans les lieux célestes en Christ !"

    Oui, Dieu le Père vous a déjà béni(e) de toutes sortes de bénédictions spirituelles dans les lieux célestes en Christ.

    C'est un peu comme un énorme héritage que vous devriez toucher : vous ne l'avez pas mérité, pourtant il est à vous. Vous n'avez pas besoin de le demander, simplement de le recevoir. De même, vous n'avez pas besoin de supplier Dieu de vous bénir, simplement de réaliser en ce jour, qu'au travers de Jésus Christ, vous avez déjà la bénédiction.

    Dieu vous a béni(e) ! L'héritage des enfants de Dieu est à vous ! Vous êtes béni(e) !

    Une action pour aujourd'hui

    Tout est accompli ! Parce que Christ est mort sur la croix pour vous, parce qu'il vit en vous, la faveur de Dieu est sur votre vie. Sa bénédiction vous accompagne. Aujourd'hui, marchez, parlez, agissez, et vivez comme quelqu'un qui est béni.  

    Source (La Pensée du Jour)

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  • “Si l’un de vous manque de sagesse, qu’il demande à Dieu qui donne à tous libéralement sans faire de reproches, et elle lui sera donnée ; mais qu’il demande avec foi, sans douter en rien ; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, que le vent agite et soulève.” Jacques 1. 5

    “Si vous persévérez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira.” Jean 8. 31, 32

     

    Nous avons vu hier que le remède à une petite foi, c’est de fixer les yeux sur Jésus. Tant que Pierre a regardé à Jésus, les vagues sont restées sous ses pieds, sans que pour autant le vent faiblisse. Aujourd’hui posons-nous une autre question : La foi ne s’accompagne-t-elle pas souvent de doutes ? Le Seigneur n’a pas dit à Pierre : « Homme sans foi, pourquoi as-tu douté » mais “Homme de petite foi, pourquoi as-tu douté ?” De nombreux croyants pensent à tort que, du moment que l’on devient chrétien, les doutes ne nous assaillent plus. Et, constatant leur persistance, ces croyants ne jouissent qu’imparfaitement de tout ce que leur a apporté le Seigneur.

    Quand des doutes surgissent, c’est seulement le signe d’une petite foi et d’un manque de sagesse (premier verset du jour). Ne laissons pas la porte ouverte à des dérives en ajoutant un “mais” à nos pensées ou à nos paroles : Le Seigneur m’a sauvé pour le présent et l’éternité, mais… Le Seigneur m’a appelé à tel service, mais… Le Seigneur me promet son aide, mais… C’est regarder à soi-même, aux autres, ou, comme Pierre, aux circonstances, plutôt qu’au Seigneur.
    D’autres causes peuvent amener à douter. Par exemple, s’aventurer dans des débats sur des sujets qu’on ignore, se lancer dans des discussions qui nous dépassent, faire de la publicité pour un nouveau prédicateur sans avoir lu attentivement ses écrits ni même l’avoir entendu… Trop souvent pareille témérité conduit à être secoué dans les fondements mêmes de sa propre foi. Notre adversaire le diable est plein de subtilité. Fermons les portes qu’il ouvre à notre orgueil, elles ne mènent qu’aux doutes. Confessons-les et demandons au Seigneur de nous donner sa sagesse.
    L’antidote aux doutes, c’est le connaître Lui, et cette connaissance vient des Écritures. Étudions-les avec persévérance. C’est ce que le Seigneur Jésus demandait à des Juifs qui venaient de croire en lui (second verset du jour).
     
    Source (Plaire au Seigneur)
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  • "Si quelqu’un te frappe sur la joue droite, présente-lui aussi l’autre… Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous maltraitent… Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ?" Matthieu 5.38-48

     

    N'est-il pas difficile, pour ne pas dire impossible, de vivre ces paroles ? Certainement, mais lorsque le fruit de l'Esprit est là, lorsque Dieu nous communique son amour, cela devient possible.

    Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous maltraitent

    Voici le témoignage d'une personne qui a expérimenté cela.

    Cette dame avait demandé à Christ de changer sa vie. Depuis, elle éprouvait beaucoup de joie à aller écouter le pasteur Robinson de Leicester. Mais son mari, incroyant notoire, l'a menacée. Il jura que si elle retournait écouter ce prédicateur, il lui briserait les jambes.
    Sans se révolter contre son mari et ses propos violents, elle prit le temps de prier. Après avoir reçu la conviction qu'elle devait retourner écouter le prédicateur, elle y alla.
    A son retour, son mari l'attendait devant la porte. "Où es-tu allée ?" demanda-t-il.
    "A l'église" répondit-elle paisiblement.
    Aussitôt son mari lui envoya une terrible gifle qui la fit tomber à la renverse. En se relevant elle lui dit avec affection : "Chéri, ne voudrais-tu pas me frapper sur l'autre joue ?"
    Cet homme fut surpris par cette attitude. Il faut dire qu'avant sa conversion sa femme était violente, et rendait coup pour coup, injure pour injure, violence pour violence.
    Dans sa surprise, il lui demanda : "Où as-tu appris cette maîtrise, cette attitude ?"
    "C'est à l'église, mon chéri, que j'ai appris cela en laissant Jésus vivre en moi, il me communique un amour, et une paix que je ne connaissais pas auparavant".
    Alors, il lui dit : "C'est bien, si tu as appris cela à cette église tu peux y retourner autant que tu le voudras, je ne te l'interdis plus."
    Cette femme put retourner librement à l'église, et quelque temps après, son mari y alla, car lui aussi désirait recevoir cet amour.

    L'amour, fruit de l'Esprit, est patient ; il supporte tout. Cette femme n'avait pas changé de religion, elle avait reçu Jésus dans sa vie, et le Saint Esprit produisit le fruit puissant de l'amour. Il n'est pas dans notre nature d'aimer ainsi, mais c'est dans la nature de l'Esprit-Saint.

    Il se peut que vous soyez confronté à des personnes hostiles, blessantes, méchantes, méprisantes, et que la révolte et la haine gagnent votre esprit. Il vous est impossible de les aimer, cela peut se comprendre, humainement parlant, mais si l'amour de Dieu vous remplit, votre regard sur ces personnes peut changer.

    Une prière pour aujourd'hui

    Seigneur, tu connais le mal que j'ai subi de la part de telle ou telle personne, remplis-moi de ton amour par le Saint-Esprit, pour que la force de leur pardonner et de les aimer me soit donnée. Amen ! 

    Source (La Pensée du Jour)

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  • “Pierre descendit de la barque et marcha sur les eaux pour aller vers Jésus. Mais voyant que le vent était fort, il eut peur ; et comme il commençait à enfoncer, il s’écria : Seigneur, sauve-moi ! Aussitôt Jésus, étendant la main, le saisit et lui dit : Homme de petite foi, pourquoi as-tu douté ?” Matthieu 14. 29-31

     

    Après la multiplication des pains, Jésus ordonne à ses disciples de monter dans une barque et de se rendre de l’autre côté du lac de Galilée, pendant qu’il renvoie la foule. Puis il se dirige vers un lieu retiré pour prier.

    Au cours du trajet, une tempête se lève. Il fait nuit. Entre trois et six heures du matin, Jésus s’approche d’eux, marchant sur les eaux. Il leur dit : “Courage, c’est moi, n’ayez pas peur”. Pierre, qui a reconnu la voix du Seigneur, lui dit dans l’énergie de sa foi : “Seigneur, si c’est toi, commande-moi d’aller vers toi sur les eaux”. Qu’elle est admirable l’audace de la requête de Pierre et étonnante sa marche sur l’eau par la foi ! Tant qu’il fixe les yeux sur Jésus, il accomplit l’impossible, les vagues sont sous ses pieds. Mais soudain, il s’inquiète de la force du vent qui n’a pas faibli et alors il commence à enfoncer. Pourquoi ? Le Seigneur, qui vient de le saisir par la main pour lui éviter de se noyer, pose le diagnostic sous forme d’une seule question : “Homme de petite foi, pourquoi as-tu douté ?”. La foi de Pierre, remarquable au début, a brusquement faibli. Plutôt que de réfléchir à la situation extraordinaire dans laquelle il se trouve et de continuer à regarder Jésus, il entend le vent, voit les vagues et crie au secours. La peur s’est installée dans son esprit aussi vite que son énergie l’a poussé à demander à Jésus d’aller vers lui. Puisque ni les circonstances, ni les personnes n’avaient changé, la leçon est claire : nous produisons nous-mêmes nos peurs, nos doutes.
    Pierre avait dit au milieu de la tempête : “Seigneur, si c’est toi, commande-moi d’aller vers toi sur les eaux”. Jésus monte dans la barque, la tempête se calme, les doutes disparaissent et tous les disciples lui rendent hommage : “Véritablement, tu es le Fils de Dieu !”.
    Quel est le remède à une petite foi ? C’est simplement de fixer les yeux sur Jésus, “le chef de la foi et celui qui la mène à l’accomplissement” (Héb. 12. 2). La vraie foi commence et finit avec notre regard fixé sur son objet : le Seigneur. Seule cette attitude la fera grandir. Source
     
    (Plaire au Seigneur)
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